Jumper (nouvelle terminée)
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Jumper (nouvelle terminée)
Jumper est un livre réel, dans le quel David, un jeune garçon de 17 ans se découvre le pouvoir de se téléporter a volonté à n'importe quel endroit du monde. Série exellente en trois tomes, voici ma fan fiction :
Jumper. Un pouvoir héréditairement transmis, depuis des milliers d’années. Chaman, magiciens, sorcier, prophète, et tous autres déguisement leur ont été nécessaire. Il peuvent aller ou ils veulent. Où ils veulent, du moment qu’ils ont vu l’endroit et en conserve une image assez nette. Un seul point sombre dans leur histoire. Les Jumper sont poursuivit par les Paladins, une organisation rapide, malin, très bien organisé. Là où les Jumper sont séparés, les Paladins sont unis. Là ou le Jumper s’en fuit, le Paladin traque. Et finit par le tuer. Jumper. Malédiction ou pouvoir ?
PROLOGUE
Jumper. Un pouvoir héréditairement transmis, depuis des milliers d’années. Chaman, magiciens, sorcier, prophète, et tous autres déguisement leur ont été nécessaire. Il peuvent aller ou ils veulent. Où ils veulent, du moment qu’ils ont vu l’endroit et en conserve une image assez nette. Un seul point sombre dans leur histoire. Les Jumper sont poursuivit par les Paladins, une organisation rapide, malin, très bien organisé. Là où les Jumper sont séparés, les Paladins sont unis. Là ou le Jumper s’en fuit, le Paladin traque. Et finit par le tuer. Jumper. Malédiction ou pouvoir ?
Dernière édition par Caine le Dim 26 Mai - 7:23, édité 2 fois
Re: Jumper (nouvelle terminée)
En faites, c'est l'histoire jumelé de deux Jumper, Kevin, puis Johnathan. Bient^^ot sortirons entre cinq et dix pages sur Sarah, une Jumpeuse !
Re: Jumper (nouvelle terminée)
Mais attention, je n'accepte cela que sous la condition que je veux le sujet nettoyé et verouillé. Je commence mais édez moi
Re: Jumper (nouvelle terminée)
- Kevin:
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Je me réveillé ce matin avec force grognement. L’école était à plusieurs kilomètres de là, et il était déjà huit heure. Je m’habillais et me débarbouillé en vitesse, avant de prendre mon petit déjeuné.
- Tu dois être de retour pour 10h25, mon chérie !
- Oui, d’accord, fit mon père, en saisissant sa mallette.
Puis, il jumpa. Je sortie de la maison en jumpant, après un salut à ma mère. Je jetai un coup d’œil à droite et à gauche pour m’assurer que personne ne pouvait me voir, et je jumpai à nouveau, cette fois-ci près de mon collège, situé plusieurs kilomètre plus loin. Je sortais du coin de rue dans le quel j’avais apparu, et m’élancé vers le portail. Le surveillant me fit un signe de bienvenue, au quel je répondus d’un mouvement de tête. J’entrais.
Les cours se succédait. Mathématiques, avec un contrôle surprise, puis français, la récréation, pendant la quel je jumpai chez moi boire un verre de soda. Puis, je revins dans la cour juste à temps pour rentrer dans une nouvelle salle de classe, celle du cours de physique-chimie. Et là, problème. Gros problème.
M.Fracolda était un jeune homme taciturne. Il portait une cicatrice, une fine ligne blanche qui zigzaguait entre son œil gauche et le bout de sa lèvre supérieur gauche. Il transportait toujours avec lui en plus de ses affaires de classes une mallette grise assez petites, qu’il posait tout près de lui. Se yeux gris scrutait toujours le visage de chacun des élèves, pour une raison inconnue. Et là, deuxième jour de classe, ses yeux arrêtèrent enfin de tourner. C’était moi. Il me regardait, s’interrompant net dans son discours débité d’une voix affreusement monotone sur les états de l’eau. Soudain, vif comme un serpent, il plongea la main dans sa mallette si précieuse, en sortit une espèce de tube noir d’une trentaine de centimètre, et appuya sur un bouton, le pointant vers moi. Je jumpai instinctivement, tandis qu’une sorte de fils relié à deux harpions s’entortilla autours de ma chaise. Les autres élèves se mirent à hurler terrifié. Le professeur, inébranlable, tira sur la culasse du tube, et tira à nouveau. Cette fois ci, j’étais prêt. Je jumpai derrière lui, près à le jeter à terre, mais à ma grande surprise, il me projeta sans même se retourner d’un coup de pied arrière. Ce dernier me percuta dans l’estomac, et je perdis mon souffle. J’allais m’écraser comme un sac de pomme de terre…sur mon lit. Aussitôt, je me relevais. Sur le sol toutes mes armoires avait été éventrés, et des taches de sang rougissait le sol. Fou de terreur, je dévalais les escaliers. Sans même penser à jumper. Mon père était sur le sol, inanimé, au milieu d’une flaque de sang. Je ne voyais ni ma mère, ni mon petit frère de huit ans. Soudain, elle apparut dans la cuisine. J’étais sur le seuil, mais n’avais pas vu un tireur embusqué juste de l’autre côté de la cloison. Il fit feu. Je voulut l’avertir, mais elle avait déjà jumpai près de lui. Elle le saisit violemment, et ils disparurent. Quelques instants plus tard, il s’écrasé dans le jardin après une chute de plus de deux cent mètres, et ma mère réapparaissait, avec mon petit frère dans les bras. Ce dernier courut vers moi en trois petit jump, et se jetait dans mes bras en tremblant. Sans même regarder ma mère, je le jumpai au parc.
- Reste ici. Surtout ne bouge pas.
- Oui, grand frère.
- Si jamais il y au danger… ne jump surtout pas à la maison. Rendez vous ici dans une heure.
Je lui donnais mon portable, et il me sourit tristement. Puis je jumpai. Deux harpons me frôlèrent, et le fils s’enroula autours de ma mère, qui se mit à crier. Ils étaient électriques. Plusieurs autres harpons jaillirent, cette fois ci dans ma direction. Je voulus secoururent ma mère, mais, un homme venait de lui planter un sabre japonais dans la gorge. Sans réfléchir, je me jetai sur lui, et le jumpai au Mexique, en plein désert. Le temps qu’il se rende compte où il était, j’avais déjà disparu.
Je ne revins pas à la maison .Je récupérais rapidement mon petit frère et nous jumpâmes à Los Angeles.
Je me mis rapidement à la recherche d’un endroit sûre. A onze ans, je n’avais aucun moyens de parvenir à louer un immeuble. Je pouvais me procurer de l’argent, ce n’était pas un problème. Dans leur jeunesse, ils avaient fait beaucoup de « bêtises », et en avait tiré quelques avantages, comme le soulignait les caves sans issus, ou les liasses de billets était aligné sur les étagères.
- Dis, grand frère? On va aller à la maison ? Où sont papa et maman ?
- Papa et maman ne sont plus là, je te l’ai déjà expliqué. Nous sommes tous seuls.
- Ils n’auraient jamais fais ça ! Maman disait quelle m’aimait bien… tu crois que c’est à cause de la crise que j’ai faits pour la broche ?
Mon petit frère était presque en larmes en songeant que c’était peut-être lui qui avait fait partir papa et maman. Mais je le rassurais.
- Mais non. Maman et papa t’aimais beaucoup. Ce n’est pas de ta faute.
Finalement c’est en songeant aux caches à argent que je pensais à notre nouvel abri : je jumpai d’abord dans une armurerie, pendant la nuit et dérobais là bas plusieurs sacs remplis de poudre explosif sans fumée. Là, je me rendais au Texas, et faisait exploser la seul issus d’une large grotte. Puis, en me rendant dans un chantier, je volais du béton, et aplanissais le sol. J’achetais des tapis en peau de mouton, assez épais, et les disposer sur le sol. Je volais chez Ikéa pendant la nuit –après avoir exploré l’endroit pendant la journée- une table pour quatre personnes, deux chaises, deux bureaux et un nécessaire scolaire. Je prenais plusieurs manga Naruto, pour mon petit frère, ainsi que des romans pour moi, et des livres scolaires. Je ne voulais pas être plouc. Ce n’est pas parce que on a le pouvoir de manquer tous les cours et s’en sortir indemne qu’on le fait forcément.
Je volais aussi des lampes à forte intensité que j’accrochais à un plafond aplanis grâce à du plâtre, et des lampes de chevet mobile. J’achetais également un réfrigérateur portable fonctionnant sur douze volts, là ou l’on pouvait mette des produits frais, comme l’eau et le lait. Puis, une fois l’abri terminé, mon petit frère, qui se cachait sans les caches à fric, comme nous les appelions, me rejoignit. Ce fut une surprise pour lui. Il était tout étonné, et tout effaré par le travail accomplis. Il courut se jeter sur son lit , et s’endormit quelques minutes plus tard à peine. Je le baptisait, Le Repaire.
Il restait toujours le problème des toilettes et des douches. Ce que je fis était très simple. Au moment de se laver, je jumpai dans une oasis situé dans une crevasse de six mètre de profondeur, inaccessible aux touristes et à leur pollution, et nous nous baignions un moment. Puis, je jumpai sous le lac avec une grosse bassine d’eau, qui se remplissait instantanément. Puis je jumpai dans l’espace inutilisé qu’était la salle de bain, avec un torrent d’éclaboussure. J’avais d’ailleurs muré certains espaces avec du béton, pour éviter que l’eau ne se disperse dans nos chambres. J’avais refait le sol, de façon à ce qu’il soit plus incliné. L’eau usagé se déversait dans le trou ; et tombait, dans une grotte sombre plus basse, plus précisément dans une deuxième bassine. Celle, ci, encore plus grosse que celle utilisé comme baignoire, pouvait contenir quatre bains. Puis, régulièrement, mon frère et moi la soulevions, et jumpions à la décharge publique de New York pendant le matin, pour la vider sur le sol et disparaître tout aussi rapidement que nous étions apparus.
Je m’occupais des devoirs de mon frère, car il était encore trop petit pour dressé un planning, mais moi, suivais les cours du Cned, et progressai assez vite. Je n’avais malheureusement pas de correction, mais lorsque que je ne comprenais pas une notion, j’achetais le bouquin qu’il fallait, et comprenait souvent assez rapidement. Sinon, n’aller pas croire que nous vivions comme des ermites dans cette caverne sans issus ! Nous mangions souvent au MacDo, le midi, et déjeunions le soir dans un restaurant qui faisait des plats…équilibrés, pour ainsi dire. Nous passions le matin à travailler le scolaire, mais toutes les après-midi était dédié à des balades, à Tokyo, A New York, à Paris…
J’avais, accroché au fond du couloir, six horloges indiquant chacune le canal horaire des six grandes villes : Tokyo, New York, Paris, etc.…
Il ne fallait surtout pas oubliais les sites de jump. Mais j’avais découvert que lorsque que je n’y revenais pas souvent, je l’oubliais : je ne me rappelais plus d’assez de détail pour y jumper. J’avais donc monter une bibliothèque de vidéo casettes, ou je filmais l’endroit, quelques minute s, ais que des albums photos, chacun dans des étagères de bibliothèque les unes à côté des autres. Je volais aussi – car je ne pouvais pas en acheter sans me faire repérer par les gardiens des magasins- un matériel de vidéo. Je possédais donc d’assez grosses batteries, très puissantes, à la quel je relias un magnétoscope deux consoles jeux vidéo, une télé, un lecteur casette, et reliais fréquemment les Ipods, et autres consoles portables, pour les charger. Nous ne possédions pas de portable. Ils ne nous étaient pas utilises, et était même encombrant dans la mesure à ce qu’ils pouvaient sûrement retracer les appels téléphoniques passé depuis les portables qu’ils auraient mis sur écoutes. Ils, c’étaient les hommes qui avait tué mes parents. Je ne les ai plus jamais revu, sauf une fois. Nous étions en train de dévorer des hamburgers dans la soirée, à Manhattan, lorsque deux femmes et un hommes vêtus de longs imperméables sombres s’avancèrent lentement, droit dans notre direction. Leur yeux scintillaient. Ce qui me sauva la vie, ce fut le visage de la deuxième femme à partir de la droite. Elle faisait partie du groupe d’agent qui avait tu mes parents. Immédiatement alarmé, je saisissais le bras de Tommy, et disparaissait avec lui dans un buisson proche. Contrairement à ce qui ce passait d’habitude, les trois agents tournèrent immédiatement la tête vers nous. Pourtant, nous n’avions pas fait de bruit. Je jumpai donc à mon petit frère en France, et lui ordonnais de partir très loin, loin de toutes communication, et de me rejoindre au Repaire dans une heure ou deux. Il obéit immédiatement. Je retournait donc d’un jump près du banc. Immédiatement, deux fils électrique jaillirent vers moi. Je jumpai derrière l’une des femmes, mais je fut jeté en arrière par un coup de pied arrière. Je compris qu’il pouvait repérer mes jumps. Ces gens là était vraiment spécial. Je jumpai juste sous les genou de l’homme, et lui fauchant les jambes du pied, le fit basculer. Je l’attrapais un bref instant, et nous jumpai six mètres au dessus de notre piscine improvisé, où nous nous baignons avant de prendre un bain ; il atterrit avec force éclaboussures, et essaya immédiatement de rejoindre l’îlot de verdure d’une dizaine de mètre environs situé en son juste centre. Je songeais un instant à chercher une arme à feu dans l’armurerie que je connaissait bien, mais je décidais d’abord de me débarrasser des autres femmes. J’apparus juste devant elle. L’une me toucha le bout du bras avec le tube noir, et mon bras fut instantanément engourdis. Je tombais au sol, et son pied se posa sur ma poitrine. Un couteau se planta dans l’endroit ou j’étais. Je venais de jumper. Je saisis la deuxième et la troisième sous mes bras et nous jetais au sol. Durant l’instant ou nous tombions, je les jumpai elle aussi dans la Piscine du Repaire, le Repaire lui me^me étant situé seulement quelques kilomètre plus loin. L’homme les aida à se hisser sur l’îlot.
Je jumpai donc au Repaire et attendit mon frère. Nous dictâmes longuement de ce que nous allions faire d’eux : il fallait bien que nous retournions nous baigner ! De plus, il fallait décider d’un sort, car ils mourraient sans assistance de toute manière. En effet, sans nourriture, ils ne pourrait guère tenir un mois –l’eau de la Piscine près du Repaire était douce, ils avaient donc à boire à satiété.
- Il faudrait les envoyer chez leur maman et leur papa pour qu’ils s’occupent d’eux et leurs donnent une grosse punition, parce qu’ils sont fait un très grosses bêtises.
- Ecoute, ce n’est pas aussi simple que cela. Je vais les faire disparaître.
Je comptais les envoyer en prison, même si je n’y croyais pas trop.
- Les faire disparaître, comme ils sont fat à papa et à maman ?
L’idée m’effleura. Je tentais de résister. Mais non. Le lendemain, à la première heure de la matinée, je les balancer du haut de la Tour Eiffel.
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’est à partir de ce moment là que je me mis à chasser les hommes de l’organisation qui avait tué mes parents. Les Paladins, comme je l’apprendrais plus tard. D’avais treize ans, après ma deuxième altercation avec eux. Je prenais déjà des cours de karaté depuis l’âge de sept, ans, et me souscrivit à douze ans à un entraînement assez intensif. Je récupérais sur leur corps écartelés les armes des trois Paladins que j’avais tué. Trois bâton d’une trentaine de centimètre, pouvant tirer des fils électriques reliait à deux harpons. On en glissait six à la dois, et on rechargent grâce à al culasse. Il y avait aussi un dispositif qui permet de propulser un couteau dans la main, et l’embout du tube électrique pouvait servir à donner de grosse décharge électrique. Et dès la semaine suivant, je me mis en chasse. Tout d’abord, mon frère et moi repérions les Paladins, les sensorielles plutôt, ceux qui par mis eux pouvait sentir nos jump. Je les jeter successivement de la Tour Eifel, de la Tour de Pise, d’une plate-forme panoramique. C’était un passe-temps, dangereux. Mais je songeais à tous les autres jumper, qui évitaient de perdre leur parent grâce à ceux que je tuais. Cela me rendais étrangement fière. Pas de les tuer, évidemment. Mais de sauver, en quelques sortes, les jumper de ses abominables Paladins.
Un jour, peu avant mes seize ans, j’eux l’idée d’en interroger. Je fis un deuxième repaire, plus rustre, dont le sol , le plafond et les mus remis à niveau, à plat, et je grillageais la moitié de l’espace de barre de fer soigneusement choisis. J’installais là bas qu’une chaise et un bureau. Deux jours plus tard, je jumpai un jeune Paladins derrière les barrière,s et me mettait immédiatement à l’aboir derrière les grilles. Il passa son arme à travers les barreaux, et tiras. Je jumpai juste derrière lui, évitait son bras, et lui cassait le poignet en apparaissant tout près de lui, de l’autre côté de la barrière, et tirant sur la main tenant l’arme. Il cria, et lâcha le tube, que je ramassait prestement. Le Paladin se colla dos au mur, dans un coin, et tira son couteau. Je lui souris, et disparus. Je ramenais une pizza et deux canettes de soda. Je mangeais devant lui. Puis, à force de coup de poing et de pied, anis que de décharges électriques soigneusement administré derrière la barrière métallique, je parvenais à lui arracher quelqu’un renseignement. Il me dit son nom, le nom de son chef de groupe, chaque groupe contenant trois personnes. Son chef le plus haut, Kemp, aller prendre l’avion pour Tokyo dans trois jours. Je le laissait là, et partis espionner un groupe de Paladins novices, dans un hangar désaffecté, à Tokyo, justement !
- Il paraît qu’un Jumper commence à poser de sacré problème. Le groupe de Kemp l’aurait pris en charge, lui et son petit frère mais il les ont loupés chez eux, lorsqu’ils avait onze ans. Maintenant, il a le son, et depuis maintenant deux ans il tue tous les Paladin qui lui passe sous la main.
Le deuxième jeunes fouilla dans son blouson en cuir, posa négligemment sont tube sur la caisse de bois devant lui et tira sur sa cigarette .
- T’en fais pas, David. On finir par le catcher. Les Jumper comme ça ne dure jamais longtemps, on finit toujours par les repérer.
- Il parait qu’il est dans le coin .un Paladin sensorielle a repéré un jump ans le coin.
- Du calme, fit le second, plus âgé.
- Kemp aurait du venir.
- On tue les jumper, nous, on ne sait pas jumper ! Moi, je n’ai jamais gérer que les enfants.
- A part le groupe de Roland, personne n’est plus expérimenter.
Ils partirent lentement, le tube à la main.
Je me rappelais ce jour atroce ou mes parents était mort. Moi, je n’ai jamais gérer que les enfants.
Très bien, mes cochons, mais maintenant, vous avez affaire à quelqu’un de votre taille !
Je jumpai devant eux. Ils s’attendait tellement à me voir apparaître derrière eux que je l’ai pris au dépourvu. Je me jeter sur l’un d’eux, et le balançait dans la tôle. Puis, j’apparus derrière le second Paladin. Son pied me cueillit au niveau du ventre, et je jumpai. Je m’écroulais tous essoufflé sur le sol du Repaire. Mon frère accourut, et m’aida à me relever. Je grogna un remerciement, et avisait une batte de base ball, de taille plus petite que celle des autres, une junior sûrement.
- Je t’emprunte ça, dis-je en disparaissant avec.
Je massacrais donc le dernier Paladins à coup de battes. le sang giclait sur le sol. Je dus laver mes vêtements.
Et c’est alors que recommença une nouvelle catastrophe. Lorsque que je rentrait au repaire, il y avait un problème. Les porte s’étaient ouvertes. En un sens, cela n’était pas si extraordinaire, mais pour nous qui ne passions jamais ses portes. Je jumpai en catastrophe dans la jambe de Tommy. Des dizaines de filets électriques grésillait sur les murs et le sol. Le corps d’un Paladin avait été brutalement encastré dans le mur, brisant le ravalement. Il respirait encore. Fou de rage, je le saisissant, et le jumpai près d’un volcan, la tête sous le magma bouillonnant.
- Ou mes mon frère.
Il ouvrit péniblement. les yeux. Je me soulevais, et le frappai de fois au diaphragme avant de le relâcher. Il grogna, et se roula en boule. Il tenta de me m’échapper, et d’un faux pas, tomba dans le volcan. Je jumper avant qu’il n’entre dans le magma. Je revenais au Repaire, et repéré la jumpmark de mon frère. Elle était presque effacé. Je pris une inspiration et je jumpai.
C’était en Russie, à Saint-Pétersbourg. Il faisait nuit. Il y avait quelques câbles sur le sol, grésillant. Mon cœur fit un bon. Sur le sol, un corps allongés. En un jump, j’étais auprès de lui. C’était mon petit frère. Dix ans. Et il se mourrait. Son corps était régulièrement arc bouté comme recevant des décharges électriques, sa respiration brève et haletante.
- Je suis allé, frérot.
- T’en… t’en fais pas…grand frère…
- Ecoute… je vais te sauver, je vais te sortir de là…
- Non, je suis assez grand…pour savoir que je vais mourir… t’as été gentil. T’es un bon frère.
Son regard se figea, et la lumière dans ses yeux disparut. Je hurlais de rage, et jump ai dans la tôle. Mes deux prisonniers étaient tranquillement en train de discuter. Ils me jetèrent un regard en coin. Je pris froidement le premier par le col, et nous jump ai au-dessus States Building. Il se mit à hurler. Il chuta pendant de longues secondes, et juste avent qu’il ne touche le sol, je jump ai près de lui, et le balançait sans la cellule. Il resta prostré sur le sol en hurlant. Le second prisonnier m’interrogea en tremblant.
- Qu’est…Qu’est que tu lui as fait ?
- Je l’ai emmené faire une balade. Maintenant c’est ton tour.
- Non…Non, ce n’est pas la peine. Noyon !
J’ai eu 24 ans hier. Cela fait maintenant plus de dix ans que je chasse les Paladins. Et c’est lorsque je rattrapai presque Kemp, que j’appris le nom d’un autre Dumper. 20 ans. Seul. Jonathan Youg Blood. Un anglais. Selon le rapport, il venait tous les jours au Café Poirote. Son intervention était prévue dans deux semaines. Il était neuf heures moins le quart. Je visionnais la vidéo du café, et je jump ai.
Re: Jumper (nouvelle terminée)
- Johnatan:
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E suis Jonathan Youg Blood. Et je suis un dumper. Je n’ai vraiment pas eu de chance. Ma mère nous a quittés, lorsque j’avais dix ans, et mon père me battait régulièrement. Jusqu’à 15 ans. Là, je découvre mon pouvoir, dumper, et je m’évade. Je m’amuse comme un taré. Je vole dans les banques un million de livres, de quoi assurer largement mes dépenses. Je continuais à voler un peu plus tard, régulièrement, m’amusant à laisser des reconnaissante de dettes sur les lieux de cambriolages. Je suis libre. Rien ni personnes ne peut m’arrêter. Je prends mon petit déjeuner dans le Café Poirote en France, je prends mon déjeuner dans un faste Food à New York, je dîne en Italie, et je dors dans un Palace en Suède. La belle vie. Jusqu’à ce que les Paladins fasse mon entré dans ma vie.
J’avais alors vingt ans. Je mangeais tranquillement dans le café Poirote un pain au chocolat ; lorsque j’aperçus, appuyé contre un mur, un jeune home curieux. Il devait avoir quatre à peine de plus que moi. Il avait un peu de barbe, un long manteau noir lui effleurant le genou, et un jean sombre. Il me regarda fixement. Je tressaillis malgré moi. Puis, je me souris à moi-même. Combien fut -il un agresseur me prévoyant comme sa prochaine victime, je serais à même de m’échapper quand je le voudrai. Peut-être pourrais je le balancer sur le Mont Blanc, et le laisser redescendre par ses propres moyens ! En fin s’il y arrive …
Le jeune homme fut là tous les matins, pendant deux semaines. Puis les Paladins firent leur apparition. Je regardais cette fois ci, moi aussi le jeune homme. Je le fixais durement, il me souriais en coin. Cette fois ci, j’étais accompagné d’une jeune femme, que je rencontrais tous les matins depuis une semaine ici. Elle sourirait beaucoup, et riait à mes plaisanteries. Une main me toucha l’épaule. C’était celle d’un homme, avec un imperméable sombre. Trois autres hommes était derrière lui. Tous tenait à la main un tube noir.
- Qu’est que tu veux ! fis-je, irrité.
- Jonathan Youngblood ?
- C’est moi ! Pourquoi?
Le tube toucha dans le cou et une décharge électrique me foudroya. Sonné, je tombais par terre. L’homme me balança un coup de pied. Je tenter de jumper, mais j’étais trop déconcentrer. C’est alors que le jeune homme ce mit en mouvement. Il jumpa –quoi ?- et frappa l’homme qui se tenait en arrière. Les trois restants tournèrent aussitôt la tête vers lui en braquant leur tube sur lui, mais il avait déjà jumper. Dans le café, les gens commençait à se lever, l’air inquiet. Le jeune home réapparut un bref instant, saisit un homme, et ils disparurent tous les deux. Dans le silence le plus complet. Dans ma t^te, ne tournait qu’une seule pensée, en boucle : je n’étais pas seul. Lorsqu’il reparut, sur le toit u magasin, il tenait à la main une batte de base ball. Un des hommes arma et tira. Une corde électrique entraîné par deux petits harpons fendit l’air. Il se baissa, et le fil s’entortilla autour d’un poteau. Je me levais, et tentai de m’éloigner un peu, mes l’autres hommes se retourna aussitôt, et me tira dessus. La corde s’entortilla autours de moi, me faisant sentir de brusque décharge électrique c’était atroce. Je tentais vainement de m’en débarrasser, tandis que le jeune homme massacrais le dernier des hommes. Les clients du café s’enfuyait, épouvanté, et une voiture noir roulait en plein zone piétonne droit vers nous.
- T’es qui ?
- Kevin. Salut.
Le jeune homme se saisit des corps par terre, et jumpa.
Je me débarrassait enfin de la corde électrique. Puis, j’avisait sa jumpmark –une zone de floue en forme de silhouette- en train de s’effacer, puis je bondit, et la traversait.
J’arrivais dans un lieu pour le moins insolite. Il s’agissait d’une grotte sans issues, le sol, le plafond, et les murs aplanis au béton. La grotte était en forme de long passage. Au fond, on apercevait plusieurs tables ainsi que plusieurs chaises, les tables jonchés de matériels informatiques. Contre un mur, un homme avait été accroché à une barre de fer plaqué dans du béton. Il avait le nez cassé, et allonger à même le sol, gémissait doucement. Devant lui, un téléviseur, avec une console de jeu. Le jeune homme se retourna brusquement en me voyant.
- Qu’est que tu viens faire ici ? Je ferai demi-tour à ta place ! T’es pas sensé voir tout ça,, t’es pas sensé voir tout à ça dégage !
Il jumpa juste devant moi.
- Tu voudrais pas gentiment aller te faire foutre ? Dans les deux secondes ? Va voir si ta copine est toujours vivante !
Kevin me tourna le dos, et confus, je jumpai. En effet, mon ami avait disparu. En emportant mon portefeuille posé précédemment sur la table. Je ne prenais même pas la peine de revenir à ma chambre d’appartement. Je me contentais de la scruter depuis le balcon e la chambre d’en face, et regarder les Paladins l’examiner méthodiquement. Je soupirais et je jumpai. Je dormis mal cette nuit. J’avais Gaïaphageé une chambre, dans un petit hôtel pourri, à un prix exorbitant pour des services pourri. Je soupirais. Depuis que je pouvais jumpai, ma vie avait été parfaite : pourquoi dérapé t-elle maintenant. Il me fallait des réponses. Je jetai un dernier coup d’œil à mon appartement et je jumpai.
Un rideau me cachait la de la pièce, mais j’entendit la voix de Kevin, sans doute en train de commenter son jeux vidéo, d’après les bruits de fusillades.
- Tu vois ce qu’on peut faire maintenant avec ce nouveau Pad analogique! Il ajouter de nouvelle touches…attends…le coup de cachette…il était beau non !
Je soulevais le rideau et entrait dans la pièce.
- A tiens ! T’es toujours vivant toi ! fit t-il sans décoller so regard de l’écran
- Combien y en a.
- J’en traque une dizaine en ce moment, mais qu’est que ça peut te foutre ! Y’en a beaucou plus.
Il saisit une canette, toujours sans quitter l’écran des yeux, et la vida en trois gorgées.
- Et les autres ?
- Quoi, les autres ! Je te rappelles que ce moi qui les chassent !
- C’est qui c’est gens là !
- Je te les dis, des Paladins.
- Ouais, tu l’a dit leur nom, mais tu m’a pas dit ce qu’il voulait
- Il veulent notre peau, je crois que c’et claire, t’a toujours pas compris.
- Si ça va, ça j’ai compris ! dis-je en m’interposant entre l’écran et lui.
- Ca me rassure. Euh, tu pourrais te pousser de l’écran.
- Pourquoi ! qu’est qu’il nous veulent !
Le personnage sur l’écran tituba et tomba par terre. Kevin lâcha le Pad avec un juron, et jeta la canette vide sur le Paladin sur le sol, encore à moitié assommé.
- Mes tes bornée, ou quoi ! Les Paladins, ils massacrent les Jumper depuis des siècles ! tout cela remontent au Moyen Age. Chasses aux sorcières, Inquisitions, ça te dit rien ? ils sont malin. Il sont rapides et organisée, et il ne laisse personnes s’échapper. Ta famille. Tes amis. Ta copine, avec la quelle tu était, hier. Ils sont morts. Ils sont tous mort. Ce n’est qu’une question de temps, il faut défaire à l’idée.
Son regard se perdit un instant dans le vide. Il renifla inconsciemment. Puis dit :
- Je fais me chercher un petit truc à manger ! Ta faim ?
Je marchait à Stillwater. Il fallait que je m’assure de quelques choses. Je jetai un coup d’œil au balcon d’un immeuble, et me concentration. Je jumpai facilement là haut, et scrutait du regard, les trois hommes en imperméable noir qui marchait dans la rue. Immédiatement, ils tournèrent le regard vers moi. Impossible. L’un de me tira dessus. Je jumpai sans difficulté, dans un buisson. Encore une foi, ils se tournèrent vers moi dans un bel ensemble. Ils savent quand je jump. Je décidais de jumpai à un magasin de caméra vidéo, et empruntai deux caméra vidéo. Je les posait sur les branches d’un arbres, et me mit à filmer. Je jumpai plusieurs fois, à des distances différences, appâtant ainsi les Paladins. Puis, je revins, pris les caméras, et jumpai en Argentine. Je visionnais les cassettes. Apparemment, ils savaient quand je jumpai, que ce soit en partant ou en arrivant, mais ne me repérait pas si je ne jumpai pas. De plus, lorsque je jumpai à une distance supérieur à quelques villes, ils me sentaient partir, mais pas arriver. C’était un avantage. Il était temps de trouver une grosse pierre, et s’enterrer l’a dessous, comme Kevin.
Je repérais dans le Sahara, un précipice abrupte, avec une petite corniche, six mètre plus bas. Je jumpai sur la corniche et regardait en bas. Plus de dix mètres au-dessus du sol.
A partir de la corniche, on accédait à une grotte. Je souris : à part être un alpiniste excellent, ou un jumpai, mon abri était inviolable. Je me mettais vite à copier Kevin, aplanissant mur et sol, ainsi que plafond. Je recouvris tous le sol de tapis en peau de mouton, et poser un mobilier simple. Quelques armoires, un lit, et un téléviseur, avec un magnétoscope. Je venais juste de m’installer, lorsque je songeais à quelques choses qui me turlupinaient. Mon père. Ta famille. Tes amis. Ta copine, avec la quelle tu étais, hier. Ils sont morts. Ils sont tous mort. Ce n’est qu’une question de temps. Je tressaillis, et jumpai.
Je pris le train jusqu’à ma ville natal, et regardait par la fenêtre. Une dizaine d’homme au moins s’affairé dans la maison. Mon père était un homme cruel, toujours ivrogne, et me battait souvent, mais, c’était mon père. Avant qu’il ne s’enivre, nous vivions de bon moment, avec Maman. J’entrais dans le jardin, sans jumpai, essayant de repérer l’endroit où il était. Mon pied rencontra un sac, et je tombai. Merde. Je shootais dans le sac, et il dévala mollement la petite pente. Ais avant qu’il ne tombe, j’entendis le son aigre d’un os qui se casse. Le sac tomba dans une tache de lumière. C’était mon père. Sa gorge tait tranché, d’une oreille à l’autre. Je gémis, et jumpai, avec tant de brutalité, que le de béton de l’Abri se fendit sous mes pieds. Je venais du laisser un sacrée Bazard derrière moi. Je soupirais, et jumpai.
Je devais me résoudre à l’idée: j’étais définitivement seul .tout ceux que j’approchais finirait par mourir, sinon. Encore heureux que je n’ai pas d’amis. De toutes manières, comment s’en faire en voyageant de pays en pays en quelques secondes. Je devais faire comme Kevin. Chasser ceux qui me chassent. Exterminer les Paladins. Je jumpai. Je copiais la technique de Kevin, en les appâtant grâce à des séries de jump. Très vite, deux arrivèrent. Je me saisis d’une barre de fer, et jumpai derrière l’un d’eux. Le coup de pied qu’il me décocha m’envoya buter contre le tronc d’arbre derrière moi. Le second pivota rapidement, et tira. Je jumpai juste à temps. Le câble s’entortilla autours du tronc, et les deux comparses se tournèrent vers l’entrée du square, les yeux sur moi. L’un deux lâcha une mallette, qui s’ouvrit d’elle même, expulsant son propre tube. Je saisit l’occasion. Je jumpai près d’eux, et… saisit la mallette. Pris au dépourvue, ils ne tirèrent même pas. Je jumpai au Repaire. La mallette contenait deux couteaux, avec un mécanisme pour les propulser dans les mains, trois tubes supplémentaires, et des recharges. Le tube se rechargeait par une culasse, comme tout bon fusil à pompe. La mallette contenait, outre les armes, deux classeurs, l’un au nom Paladin, l’autre Jumper. Je commençait par le classeur de Jumper. La première fiche était au nom d’un Indien, un certain Geronimo Gil. Je la posait sur la table de chaîne ; Je tournait les quelques pages du dossier, et tombait sur le rapport de Kevin. Il s’agissait de Kevin Hâdy, d’origine française. Il avait un petit frère, éliminée, il y a presque dix ans maintenant. Ce n’était qu’un enfant. Kevin était le seul Jumper s’attaquant aux Paladins. Il en avait une centaine à son palmarès. Suivait les nom. Un nom, Kemp, était indiqué en bas de page. Je tournais encore les page Je tombait sur mon dossier, et sur d’autre. Puis j’ouvris celui des Paladins. Je tombais presque immédiatement sur celui de Kemp. Il s’agissait d’un des cinq Alpha, ayant la responsabilité des enfants jumper. Je réprimer une nausée. C’était lui qui s’attaquait à des enfants, et les massacrait. Depuis peu, il essayer de retrouver Kevin. Du temps ou il était au rang inférieur, il avait eu affaire à lui, et avait même été transporté dans le désert. Il ‘en était remis de peu. Je notais l’adresse ou il seras pour les trois prochains jour, et jumpai. Je n’était pas fait pour chasser les Paladins, mes je connaissais qui pouvait le faire bien mieux que moi. Et je savais comment le convaincre.
Lorsque que je rentrais dans le Repaire de Kevin, une gerbe d’eau apparut en même temps qu’un Kevin tremper.
- Ou est le Paladin, demandais-je
- Il nage.
- Dans le Pacifique ?
- Non, dans l’Atlantique. Un coin sympa près de Cuba, bourré de requin.
Je posait la question qui m’embêtait tant depuis quelque temps.
- Les Paladins se sont bien infiltrés dans la société ?
- Bien sûre.
- Donc, il savent ou est ma mère. Elle nous a quitté.
- Bien sûr.
Je me regardai, et tandis qu’il sourit, poussait un long hurlement de rage. Il cligna des yeux, puis, me sourit encore une fois.
- Bon.
Il se détourna, et jumpai près d’une armoire métallique. Il tourna une clé&, et me regarda fixement.
- Ecoute, Jonathan, c’est à moi, c’est perso, respecte un peu mon intimité : retourne toi.
Je grinçais des dents, et me retournait.
- C’est ma mère.
- Je sais.
- J’ai besoin de la retrouver.
- Je ne vais pas t’en empêcher.
- J’aurais besoin de ton aide.
- Je travaille seul.
Je me retournais en entendant claquer la porte. Il avait pris un sac à dos noir, c’était séché et avait changé de vêtement
- Je sais où trouver Kemp.
Il se figea. Son regard erra dans la grotte sans chercher le mien, fit une pause sur la collection de tube, s’arrêta sur la batte.
- Où ?
- On le chasse à deux ?
- …
- Alors…
- Oui !
Il saisit la batte, et je nous jumpai.
Il s’agissait d’une charmante maison, un peu à l’écart du village, dans les Vosges. J’étais passé par là, autrefois, et avait photographié les environs, pour mieux m’en rappeler. Nous évitâmes de jumpai tous près de chez lui.
Je restai un peu en arrière, ma barre de fer dans la main. Kevin, lui transpirait la sûreté et la puissance. Il était dans son élément. Il jeta un coup d’œil par-dessus le grillage et me fit signe de venir. Nous jump âmes de l’autre côté. La porte s’ouvrit presque immédiatement. Nous jump âmes tous les deux lorsque le filet électriques fusa vers nous. Moi, derrière un arbre, lui derrière le Paladin. Immédiatement, son pied fusa vers l’arrière, mais Kevin, préparé, fit un pas de côté, et abattit sa batte sur son genou. IL eut claquement et il s’effondra. Kevin lui écrasa la tête de son pied, l’attrapa sous les coudes et le jumpai. Il revint quelques secondes plus tard.
- Pas le temps de m’occuper de lui, je l’ai envoyé ce tailler une causette avec un lion dans un zoo.
- OK. Bon, on y va.
- Tu me suis.
Il jumpai. J’hésitait, puis marchait dans sa jump mark. J’atterrit dans le salon. Il venait d’assommer deux Paladin, et saisit le troisième sous les bras, prit de l’élan, et le jumpai contre la porte, comme un bélier. Elle craqua, et s’effondra. Je jumpai les trois Paladins assommé sur le sol, dans la faille de 16 mètre ou se trouvait l’Abri. Puis, je revins. Kevin courrait vers moi en hurlant. Derrière lui, un homme brandissait un fusil énorme. Il fit feu, et un énorme filet à maille électrique tomba vers nous. A toutes allures, bien plus vites que les fils normaux. Kevin me saisit sous la taille, et me plaqua sur le sol, dans le Repaire. Le filet avait jumpai avec nous, et s’écrasa sur le mur, perçant la toile banche où était proche té diapositive. Sur le sol, deux Paladins avaient été menottés. Encore. Kevin plongea jusqu’à l’armoire métallique, en tirant deux ceintures d’explosif qu’il noua autours de la taille des deux homes.
- Euh… qu’est que tu f…
Il les avait déjà saisi, et jumpai. Il revint une seconde plus tard.
- Boum !
Puis, il jumpai à nouveau. Je le suivis. Toute la maison n’était plus que loques noircis. Le premier étages avait glissé, et défoncée le portail, laissant le mur à nus. D’entre les corps, un homme se releva il avait un long imperméable marron, une peau très blanche, une moustache, et des cheveux noirs, un peu décoiffés. Il portait toujours son immense fusil.
- Ma part du marché est accomplie, laisse le moi.
- Qu’est que tu vas lui faire ?
- Ce qu’il m’a fait subir.
- Tu ne vas comme même pas le torturer, c’est inhumain…
Il l’avait saisit par les jump, et jumpai. Je jumpai au Repaire, tout aussi inquiet que Kemp, car c’était bien lui. Il roula sur le sol, et tira. Kevin, lui, jumpai au devant, le projeta contre le mur, et tira deux fois avec les tubes, le fixant au mur, le corps parcourut de petit frissons.
*J’étais incapable de bouger. Kevin, lui, n’avait jamais semblé aussi heureux.
- un paladin, railla t-il, drôle de nom pour quelqu’un dont la fonction est de tuer les enfants.
Kemp ouvrit les yeux, et sembla soudain lui accorder toute son attention.
- Ecoute petit…
Kevin jumpa près de lui, et lui enfonça une lame dans la cuise. Kemp hurla, puis se tu brusquement, haletant comme un chien.
- Nous ne sommes parti du bon pied, nous deux, je crois. Ça a commencé quand tu as tué mes parents. Tu croyais peut-être que je ne les aimer pas, mais je vais te décevoir, tu avis tout faux. Puis, tu as tué mon petit frère. Pourquoi ne l’as tu pas gardé prisonnier. Ce n’et pas ce que ton petit frère, Johnny, aurait fait, un ? Oui, je sais, il est dans les piranhas, maintenant, mais bon.
Kemp recommença à s’agioter. ?
- Kevin, vis-je. Arrête ça.
- Bon sang, mais tu vas te calmer à la fin !
Kevin lui arracha presque l’œil, avec ses doigt.
- KEVIN, criais-je.
Il jumpa si près de moi, qu’il m’envoya bouler contre le mur. J’étais presque assommer.
- J’étais un gentil garçon, continua Kevin. Sans doute le gendre de gamin dont tu t’occupe habituellement, le genre qui meurt gentiment et sans faire d’histoire quand tu débarques avec tes couteaux, tes lances-harpons, tes câbles, tes étourdisseurs électriques ?
On entendit des bruits de pioche, derrière le mur opposé. Kevin tourna la tête, puis il sorti de l’armoire métallique, une grosse bombe dans une armoire. Il la renverser sa sur le sol, puis, saisit un détonateur dans une boite de carton remplit de papier.
- Qu’est qu’ tu fais, dis-je.
Pour toute réponses, il me saisit le bras, et me jeta sur le sol, près d’une mine abandonné.
Il pressa le bouton noir du détonateur. Le temps sembla s’arrêter. On entendait des cri en bas. Puis, un gigantesque nuages de fumée s’échappa par l’ouverture qu’avait pratiqué les Paladin. Kevin soupira.
- c’est fini pour aujourd’hui.
- Tu l’a torturé, Kevin.
- Je crois que notre alliance touche à sa fin. Au revoir.
Et il jumpa.
Je m’efforce de ne plus jumper, je ne veux plus avoir de problème. Je suis cadre, j’ai une femme, et deux merveilleux enfants. Je ne revis plus Kevin, ni les Paladins. Je ne veux plus les voir. C’est comme vivre dans un fauteuil roulant, alors qu’on pourrait courir. Mais il vaut mieux pourquoi de rester dans le fauteuil roulant. Plutôt que de courir comme un fou au bord du fossé. Comme Kevin.
Re: Jumper (nouvelle terminée)
Prochaine édition :
D'ici le 15, je ne sais pas trop selon l'avancé des trois livres que j'écris, cela sera sur Sarah, une Jumpeuse, et la quatrième édition sera sur James, un Paladin. J'éspère que cela vous plait, et je vous rpomet que j'essaierai de l'écrire avec le même style que les deu prmeie !
D'ici le 15, je ne sais pas trop selon l'avancé des trois livres que j'écris, cela sera sur Sarah, une Jumpeuse, et la quatrième édition sera sur James, un Paladin. J'éspère que cela vous plait, et je vous rpomet que j'essaierai de l'écrire avec le même style que les deu prmeie !
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