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Georgec Batane

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Message par Caine Dim 31 Mar - 7:27

C'est une histoire qui avait été inventé par Lupo12, et que l'on a continué ensemble. Elle n'est pas fini, bien que le shéma est était intégralement rédigé (pout une fois). La suite si vous aimer !

Georgec Batane
1) Maître Esprit

Prélude

Il y a toujours eu des Esprits, cachés, sur toute la surface du monde, parfois même dans ses entrailles. Parfois, ils font de certaines personnes leur Hôtes, qui deviennent alors des personnages extrêmement puissant, dont leur nom est souvent citer dans le Grand Livre des Légendes de Sho’Cendi.. C’est Hôtes, une fois après avoir maîtriser leur Esprit, deviennent des Maître Esprit, titre dont le nombre de personne se compte sur les doigts des mains. Il y a Six Esprits, Six Puissance. Le jaune, offrant un pouvoir sur le sable, le rouge permettant de manipuler le feu, le blanc, permettant de manipuler l’air, du souffle de vent à la tornade, le violet, l’esprit de l’érudité, offrant à son porteur une mémoire illimité et une intelligence accru, le bleu, permettant de maîtriser l’eau sous ses trois états, le vert, la couleur des magicien, permettant une puissance accru des mages, et un pouvoir sur la végétation. Ces Sept Esprits, lié par des liens aussi invisible que puissants, ont été enfermé il y a maintenant des millénaires, par un Mage, plus puissant que tous ce que la Terre a porté et ne portera jamais.. Le Mage les scellé dans six globes de couleurs différentes, qu’il a ensuite éparpillée en un ultime effort.

Chapitre 1

Le Roi Urien traînait sa large carrure à travers les longs couloires de son vaste palais, le Château de Penarien.
Urien de Penarien était un homme d’âge moyen, pas plus de trente cinq ans. Il avait un visage extrêmement pâle, zébrer d’une cicatrice, qui zigzaguait, en partant du bas de son œil droit, et qui finissait à sa lèvre supérieur. Son teint était pâle, et une chose qui était troublante dans son visage était l’épaisse balafre rouge qui lui barrait le visage en zigzaguant de l’œil droit jusqu’à la mâchoire, comme si on l’avait violement attaqué d’un coup de couteau. Il avait une masse de cheveux noir et blanc qui était légèrement bouclé, et qui s’écoulait sur ses larges épaules. Il était en outre d’une taille phénoménale, tout en muscle, en os et en chaire. Il faisait en effet plus de 2 mètre 45.
Il était toujours habillé de pièce d’armure, notamment sur le torse, sur les épaules, sur les avants bras et sur les jambes. Tout le reste était en cuir renforcée, et ces bottes étaient doublées d’une plaque de métal renforcée. Il avait laissé son Arme dans la salle du trône. Il n’y avait aucun risque qu’elle puisse être volé, car lui seul pouvait la magné. Il l’avait dédaignait pour porter à sa taille, une large épée à double tranchant, dans le bout du fourreau, doré, effleurer le sol chacun de ses pas.
Depuis maintenant une semaine que sa fille unique, la belle Yarenitsa était morte, lui laissant un mot dans son tiroir un mot lui indiquant qu’elle lui laissait un objet magique posé sur la table de son Laboratoire. Son Laboratoire… cet endroit mystérieux où personne n’avait le droit d’entrer, ou elle faisait ses expériences magiques.
Sarenitsa, était une puissante Magicienne. Elle avait évidement son Laboratoire, et Urien hésitait à y entrer. Un Laboratoire n’était pas un lieu anodin, ou l’on entrait comme l’on sortait. Parfois, on n’on sortait même pas. Finalement, il n’y tain plu. Montant au sommet de la Tour Est, il posa sa paume sur la seule pierre du mur rouge. Aussitôt, un pentacle se dessina sur le mur autours de sa paume. Le mur s’ouvrit en coulissant lentement. Le Roi hésita, puis entra à petit pas dans la pièce. C’est à peine s’il entendit le mur se refermer derrière lui. Il détacha sa cape d’hermine blanche et noir, et la laisser s’effondrer avec un bruit mou sur le sol poussiéreux, et entra dans la plus grande salle du Laboratoire, aussi appelé la Salle de l’Expérience. Cette salle était entouré de 4 autres portes, ou il était successivement inscrit : Bibliothèque, Réserve, Objet Dangereux, ainsi qu’une dernière porte ou il n’était rien inscris. Le Roi tenta d’ouvrir chacune des portes. La première, Bibliothèque, ne contenait qu’une petite table basse ou traînait deux grimoires, un ouvert, posé sur le fermé. Il examina le titre du Grimoire ouvert. Il ne portait que la mention Esprit. Il était ouvert, mais Urien ni prêta aucune attention. Il referma la porte derrière lui, et ouvrit celle de la Réserve. Cette salle était peuplée d’un labyrinthe d’étagères remplie de bocaux avec des liquides ou des objets qui paraissaient être à de différent stade de décomposition. Il referma rapidement la porte, non sans remarquer, sur le sol un froc en métal, gravé d’un pentacle à moitié effacé. Il évita volontairement de passer devant la porte Objets Dangereux, et tenta d’ouvrir la porte sans inscription. En vain. Alors, il retourna vers la Salle de l’Expérience. C’est alors qu’il remarqua le sol était jonché d’objet moitié calciné. Il frémit en rependant à la couleur noir du visage de sa fille lorsqu’elle c’était extirpé du Laboratoire. « Une expérience qui avait mal tourné. » avait diagnostiquer le médecin, avant qu’Urien ne le fasse pendre. C’est alors qu’il aperçut un globe jaune. Son regard était attiré par cette objet. Il semblait briller, malgré la lumière basse. Lentement, l’idée s’installa dans l’esprit du roi. Cet objet n’était pas là par hasard. C’était son héritage, à loi, laisser par sa fille adoré. Sans hésiter, le Roi sans saisit, et s’effondra sur le sol, soudain incapable de bouger l’enfila à son indexe. La bague rayonna, puis glissa du doigt et tomba sur sol. Le Roi ce tenait debout, sans bouger. Soudain, il savait. Les Esprits, cela existait. Il savait même qu’il venait de devenir un Hôte. Et étrangement, cela ne l’inquiétait pas le moins du monde.
« Nous sommes deux, maintenant, susurra une voix à son oreille. »

Chapitre 2

Georgec se tenait assis sur le toit de son manoir, les pieds balançant dans le vide. C’était un petit garçon lunatique, qui n’avait pas plus de cinq. Il était d’ordinaire d’un tempérament joyeux, aujourd’hui assombrit par la mort de Grand-Père. Il avait des yeux bleus extraordinairement pâles, une peau halé par le soleil du Désert des Murmures, ainsi que de longs cheveux bruns claire. Georgec était habillé d’une chemise rouge légèrement entrouverte et d’un pantalon de toile brun claire. Il regardait au loin la procession noire quitté le village de la Colère pour accomplir le traditionnelle Tour des Fondations, pour honorer le défunt Chef de Village. Georgec grimaça. Le jeune garçon se remit à penser à au dernière parole que son grand-père avait insisté pour les lui glissé en privé. « Prend la Pierre ». La pierre. C’était une pierre rouge, qui fascinait le jeune Georgec. Depuis longuement qu’il s’en souvenait, Grand-Père ne l’avait jamais touché avec sa peau, de sa vie et de sa mort. Il la tenait comme un objet précieux, l’avait toujours sur lui, dans un bocal transparent autour de son cou, suspendu par une chaînette d’or. Lorsqu’il en avait demandé la raison à son Oncle, ce dernier avait souri, et avait demandé une nouvelle cruche de bière à l’aubergiste. Lorsqu’il avait saisit le petit paquet blanc, il avait tout de suite deviné de quoi il s’agissait. Ainsi était mort le chef du village, léguant le gouvernement du petit village en bordure de foret à son fils cadet, et offrant une petite pierre à son petit fils adoptif. En effet, Georgec avait été récupéré bébé sur le pas d’une maison. Le chef du village avait immédiatement recueillit le petit bébé, et l’avait élevé comme son propre fils. Georgec sortit de sa poche le petit paquet blanc, et l’entrouvrit, dévoilant un morceau de la pierre. Il la toucha du bout des doigts. Aussitôt après, il eut un rayonnement, et la pierre glissa le long des tuiles du toit avant de s’écraser sur le sol avec un bruit mat. Une voix murmura aussitôt à son oreille : « Salut ! ».
Georgec sursaute, et chercha immédiatement la voix du regard. Personne. Il se baissa pardessus le toit, sans apercevoir personne. « Tu pourrais me répondre quand je te parle ! ». Cette foi, la voix tonna dans sa tête, le faisant sursauter. Il laissa glisser ses maisons sur la fine ardoise du toit et glissa le long des tuiles. Il se raccrocha quelque seconde à la gouttière, priant pour qu’elle tienne, mais avec un petit gémissement. Il bascula vers le vide, comme aspiré. Alors qu’il allait heurter la pierre, il eut un éclair rouge, et Georgec sentit un de ses yeux le picoter. Il eut un éclaire rouge, et tout les rochers furent pulvériser.
« Mais, qu’est qui ce passe ?
« C’est moi Colère ! ... Tu ne réponds rien…
- UN MONSTRE DANS MA TETE
« …Mais qui m’a collé un idiot pareille ! Je ne suis pas un monstre ! Je suis ce qu’on appelle un Esprit. Je m’appelle Colère. Et toi ?
« Tu vas être gentil avec moi ?
« Oui, bien sur. Comment t’appelles-tu ?
« Tu promet ?
« Mais bien sur !
« Super ! Moi je m’appelle Georgec ».
#
# #
5 ans plus tard
Georgec n’avait pas beaucoup changé. Sa peau était toujours aussi pâle et ses chemises étaient toujours vertes et entrouverte, ses pantalons étaient bruns. Il avait juste un peu grandit. Et il avait intégré un Esprit. Il venait juste d’être envoyé par l’Aubergiste cherché de la bière à la Ville. La ville était en question assez, petite, mais étant donnée qu’elle se trouvait au-delà du défilé de Gara, elle était considérer comme le bout du monde. Depuis, la mort de Grand-Père, et donc depuis l’acquisition de Colère, un Esprit parmi les Sept autres Esprits, l’Oncle avait pris le commandement du village. Il avait d’abord laissé une semaine Georgec tranquille, puis, il avait continué à l’envoyer dans la petite école du village Colère. Le village avait peu changée. Le vieil Aubergiste, surnommé la Cruche ou le Ventru, car on n’avait oublié son nom, et aussi parce qu’il pouvait avaler des dizaines de tonneau de bière brune sans sourciller.
« Salut Colère.
« Salut Georgec.
« Tu voies les lumières, là bas ?
« …
« Colère ?
« …
« Colère, j’entendant des cris !
« …
« Colère répond moi ! Ils viennent du village !
Il dévala la pente vers le village.
« NON » rugit dans sa tête la voix de Colère.
Georgec ferma son esprit à l’Esprit et continua à courir. Arrivée dans le village, il vit tout de suite le manoir de son grand père, en flamme. Puis, il entendit, les cris des femmes et des enfants. Sur le sol, face contre terre, les hommes avait été ligotées. Georgec trébucha contre une pierre, vola sur quatre mètre avant d’heurter bruyamment, le sol. Un immense rocher retomba sur ses jambes, lui arrachant un hurlement de douleur. Heureusement, le tumulte qui régner au village couva le bruit de sa chute, ainsi que de la disparition des tonneaux, qui roulèrent à travers les feuillages avant de se perdre dans la montagne. Georgec tenta de se relever, mais n’y parvint pas. Il avait sans doute les deux jambes cassé. Puis, il vit les gardes, dans leur armure blanche marqué d’un Penarien stylisé. Ils empoignaient les villageois sans ménagement, et les jeter dans une sorte de cage immense. Puis, il mettait feu à la maison ou ils les avait découvert. Puis, chacun des villageois comparaissait devant deux hommes encapuchonnée, l’un de violet, l’autre de rouge. Chacun touchait à tour de rôle la tête de l’individu, puis secoua la tête. Alors, l’individu était empoignait, malgré ses gémissement et ses supplications, et était tué. Puis, on le jeter avec les autres cadavres, qui formaient déjà une petite montagne. Impuissant, Georgec devait voir ses amis, ses connaissances, tous son entourages se faire massacrer. Enfin, le dernier villageois comparue. Georgec reconnut immédiatement l’homme malgré la couche de crasse qui lui couvrait le visage. C’était l’Oncle. Georgec tenta frénétiquement de se libérer de la pierre qui emprisonnait ses jambes, sans parvenir qu’à se meurtrir les cuisses. Mais déjà, l’homme posait sur l’Oncle sa main. Il secoua la tête. Georgec parvint à soulever légèrement la pierre avec l’énergie du désespoir… pas assez haut. Mais déjà, le deuxième individu poser la main sur sa tête. Il secoua la tête alors que Georgec faisait sauter de petit morceau de roche. Mais les individus ne l’envoyèrent pas sur la pile de cadavre. Il les vit tenter de lui extraire l’information par la parole. On planta un couteau dans la cuisse de l’Oncle, qui serra les dents mais ne dit rien. Georgec était presque parvenue à lever le rocher. Trop tard. Les hommes encapuchonnés virent avec effroi l’Oncle se propulser dans les décombres de son manoir. Il eut une explosion et plusieurs morceaux de roc volèrent à travers le village. Les hommes encapuchonnées se mirent à discuter violement, puis, le chef des gardes s’approcha, planta dans le sol un drapeau et se mit à hurler des ordres, les gardes sautèrent sur leur chevaux, et quelle que minutes plus tard, il avait disparus derrière les montagnes. Puis, les hommes se jetèrent sur les chevaux et s’éloignèrent rapidement, jusqu’à disparaître à l’horizon. Georgec, libéré de la pierre et les jambes guéries par une aura rouge.
- GEORGEC ! hurla la voix de l’aubergiste derrière lui.
Il courut au milieu des rangés de cadavre empalées. Il s’arrêta devant le corps de son Oncle, le visage méconnaissable.
- NON !
Ces yeux prirent une teinte rouge lumineuse. Autours, de lui une onde de choc repoussa débris et cadavre dans un rayon de cinq mètres autours de lui. L’aubergiste s’approcha lentement, les mains dans ses larges manches. Le jeune garçon tourna vers lui un regard fou, lumineux. Une deuxième onde de choc se propulsa, et atteignit les débris du manoir en plein fouet, envoyant voler la façade murale en éclat. Georgec, posa les mains par terre et le sol s’enflamma. L’aubergiste continua ait à marcher, ses pieds éteignant le feu. Georgec se jeta sur lui. Ses yeux rayonnaient. Ses mains frappèrent le corps encapuchonné du lourd aubergiste, levant le capuchon. Dévoilant son œil violet.
Aussitôt, les mains de Georgec s’arrêtaient de frappait l’aubergiste. La Colère le Reconnut. C’était l’aubergiste du village. Mais c’était aussi la Bonté.
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Message par Cloporte Dim 31 Mar - 16:07

On peut poster des avis ou pas ? Parce que le mien a été supprimé sans que je sache pourquoi ! Alors si c'est le cas verrouille le sujet.
Bref.
Je disais que je trouvais l'histoire plus travaillée que Disparus.
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Message par Jagang Dim 31 Mar - 20:29

La sous-categorie devrais pas etre dans la categorie fan fiction et non jeux

P.S:ce message est a suprimer apres changement
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Message par LeRat Mer 3 Avr - 14:37

Sinon, ce serait bien que tu mettes de balises spoiler
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Message par Cloporte Mer 3 Avr - 15:58

Pourquoi ? On fait un sujet pour l'histoire, un pour les commentaires. Voilà. Ouais.
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Message par LeRat Mer 3 Avr - 16:04

Pour l'histoire: pas besoin de changer la couleur quand on veut le mettre sous Open Office, et ça prend moins de place.
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Message par Cloporte Mer 3 Avr - 17:28

Quelle rapport ? Quelle couleur ? Qui te dit qu'il utilise Open Office ? Ne sais-tu pas que Caine n'utilise pas Open Office ? Vas-tu répondre à toutes ces questions ? As-tu seulement pris la peine de les lire ?
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Message par Caine Mer 3 Avr - 17:33

Si j'utilise OPEN OFFICE. ALors, vous voulez la suite ? Je vais poster une autre ! Jumper !
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Message par LeRat Jeu 4 Avr - 16:22

Oui, ce serait bien, la suite...
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Message par Cloporte Jeu 4 Avr - 17:57

Oui, je veux bien la suite.
Mais je croyais que tu tapais ton texte sur ton Notebook !
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Message par LeRat Ven 5 Avr - 14:55

Sinon, il faudrait faire un effort pour l’orthographe...
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Message par Cloporte Ven 5 Avr - 18:34

Il faut toujours faire un effort pour l'orthographe. Là, c'est déjà beaucoup mieux que Disparus. Globalement, on sent que le texte est plus travaillé, qu'il suit un chemin précis. En tout cas, moi je préfère à Disparus.
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Message par Caine Sam 6 Avr - 7:55

Bon, ça vous a plu, voici la suite (je n'ai pas continué après cela :

Aussitôt, les mains de Georgec s’arrêtaient de frappait l’aubergiste. La Colère le Reconnut. C’était l’aubergiste du village. Mais c’était aussi la Bonté.

#
# #
- Pourquoi est que les soldats du Royaume de Penarien ont attaqués notre village ?
- Parce qu’il te cherchait.
- Mais pourquoi ?
- Vois-tu, Urien agis bizarrement depuis maintenant huit ans. Il est devenu plus sombre. Plus refermé. Il ne sort presque plus de son château, ne donne plus de fête. De plus, j’ai l’impression qu’il a accueillit une jeune femme appelé Gatyourama. C’est la réceptacle de Joie. Je crois qu’il essaie de monter une armée d’Esprit. Il a notamment formé une véritable élite d’Elfe, qui constitue la classe Chasseur d’Esprit. Cette élite composée de sept Chasseurs, chasse successivement Joie, Colère, Bonté, Sagesse, Méchanceté, Avarice, et Folie.
- Mais, le pouvoir d’Urien c’était sur plus de la moitié du continent ! Il accomplira son objectif en un rien de temps !
L’Aubergiste darda vers lui son regard vert ou rayonnait des reflets de violet.
- Est tu prêt à le rejoindre ?
- NON ! Il a détruit mon village et…
- Dans ce cas, il ne nous aura pas facilement, le coupa Aubergiste Ventru.
Georgec et Ventru, monté le long des collines. Ils arrivèrent bientôt au niveau d’un escarpement rocheux qui conduisait vers une grotte. Ils s’arrêtèrent donc, et s’assirent sur la petite corniche de pierre, qui surplombait les décombres du village. Les yeux de Georgec scintillèrent, tandis que la brise s’accentuer.
- Contrôle-toi. Bien. Pour l’instant, je vais être ton Maître, afin de te former pour que tu ne sois qu’un avec ton Esprit. Colère et toi vous allez devoir un style sur la rapidité, pour battre les Chasseurs d’Esprits. Tu ne dois pas oublier que ces enfants Elfes arraché à leur famille depuis qu’ils sont bébé, ont été éduqués pour tuer et obéir à Urien sans émotions. De plus, ils ont subit au Château de Penarien un entraînement extrêmement rigoureux. Pour l’instant, tu va t’entraîner à projeter ton esprit avec un point. Ton pouvoir n’agit pour l’instant que sous l’effet d’un sentiment fort. Il faut maintenant que tu es une emprise de fer sur le Pouvoir de Colère. Montre-moi !
Georgec se leva lentement. La lumière rouge envahit son œil gauche. Aussitôt, son poing gauche se leva et frapper la pierre, détachant un morceau de corniche.
Sans un mot le Maître Esprit se leva, et laissa la couleur de ses yeux passer au violet, puis, levant haut le poing, frappa la corniche, qui se fissura puis s’effondra en poussière. Le Maître Esprit sortit du nuage de poussière en lévitant, puis atterrit dans la grotte.
- Exerce-toi !
Georgec réitéra son exploit, sans plus. Le Ventru s’approcha de lui, et expliqua.
- Tu dois faire en sorte à ce que Colère et toi frappe ensemble. Pas toi avec la force de Colère ou Colère avec ton corps. Soyez en parfaite harmonie, que ce ne soit plus Georgec et Colère, mais Maître Colère…

#
# #

Et c’est ainsi que Maître Bonté commença à entraîner Georgec afin d’en faire un Maître Esprit.
Tout d’abord, ils marchèrent jusqu’à la ville de GarGar, en bas du Mont GarGar, la plus proche du village Colère. La moitié de la ville était bâti sur l’eau du Lac GarGar. La moitié de ville sur terre, dans les quartier Est, se trouvait la plus part des marchands riche, et d’habitations d’hommes travaillant à la ville. A l’orée de la ville est, se trouvait que des masures faites de pierre et de torchis, maison de paysans qui travaillait dans les champs voisins. Dans le quartier ouest, sur l’eau, les maisons était sur pilotis, en vois, rudimentaires, reliée entre elle par des pont de bois. La ville aurait pu être la même que celle qu’elle était il y a une dizaine d’année, si le nombre de garde n’avait pas soudainement augmentée. Il étaient là, par groupe de deux ou trois, parfois même cinq ou six, patrouillant avec lenteur le long des rues, armées de lourde hallebardes et d’épée lourde qui battait sur le côté. Leur tunique blanche marquait d’un Penarien et ceinturé d’une épaisse ceinture noir. Il lançais des regards mauvais sur les gens qui passait à toute vitesse, le plus loin possible. Rien n’était plus dangereux pour un passant qu’une bande de soldats qui s’ennuyaient. Même les cris du marchées diminuer lorsqu’il s’approchait trop d’un étal. Soudain, un homme tout vêtu de blanc, à l’exception de Penarien sur le dos de sa cape fit irruption sur le chemin, galopant sur son destrier à toute vitesse. Une petite escorte l’accompagnait.
Ventru arrêta son cheval.
- C’est le seigneur de la ville, glissa t-il en indiquant d’un geste l’homme capé, qui était en train de descendre de son cheval.
Il paraissait essoufflé, comme s’il avait lui même courut. Son visage était rouge, et il haletait comme un chien après une course dans les bois. Ses cheveux était brun, couvert, soigneusement peigné. Il avait a peu près la cinquantaine, mais semblait encore vif. L’épée qui battait à son côté était moins épaisse que celle des gardes laissé suggérer qu’elle avait été conçut pour êtres plus élégante, mais il n’en était rien. En effet, il avait appris de Ventru qu’il s’agissait d’un des meilleur maître lames de tout le royaume. Il chuchota quelque mot à un sergent, dont le visage blêmit à vue d’œil.
- RASSEMBLEMENT, hurla t-il.
Aussitôt, ses compagnons, furent sur ses talons. Lentement, alors que le sergent rassemblait ses troupes, , tout les soldats affluait vers le centre de la ville. Les gens les plus prudents ce calfeutrait déjà dans leur maison. Ils ignoraient le danger et ne voulait pas le connaître. La rumeur se répandit à la vitesse de la lumière, et bientôt, tout les habitants de la cité furent informées. Le Point Blanc passait à l’attaque. Mais ce n’était pas tout. Maître de l’Ombre arrivait assassiner leur six maîtres lames présent dans la cités.
Georgec frémit à ses mots. Le Maître Ombre était des assassins, des tueurs, mais d’une tout autres catégories, que les autres. Ils étaient silencieux, frappaient avant de disparaître. Quelque uns travaillaient pour le Penarien, mais était d’une puissance moindre. Celui qui avait été engagé par le point blanc, lors de la Guerre des Guerre, était encore vivant aujourd’hui, malgré son âge, plusieurs centaines d’années. Il se nommait Kylar Stern, mais été aussi connu sous le nom de Lan du Ciel, Koran le Dragon, Maître Gibbet, et Maître des ombres, pour n’en citer que quelque uns. Personne n‘avait vu son visage, et les réçits le présentait sous un démon, sans consistance, qui prenait forme d’une ombre sans corps, qui voltait, accomplissait sa tâche. Le point Blanc n’avait t-il pas les meilleurs mage du monde ? Tout ce qui avait vu ou tout du moins entraperçu son visage était mort. Empoisonner, égorgée, poignarder, ou bien des suicide douteux.
Ventru souffla :
- Le seigneur de GarGar, Jino dès Tapo, est une de mes connaissance. Je ne l’ai jamais vu se comporter comme ça.



L’étranges couple, rassemblant un garçon à la peau halé et au cheveux brun, avec un vieillard armée d’une bedaine non négligeable.
Là, ils achetèrent un chariot. Puis, en passant devant une échoppe, Georgec remarqua un couteau magnifique qui attira immédiatement son regard. Le manche était de l’os, coloré de bleu et taillé en de beau dessin concentrique. La lame était assez courte pour être attaché à sa cuisse, et la lame était assez épaisse pour résister à des coups d’épée ou de katana. La gaine était noire et finement ouvragée. Il plongea sa main dans une bourse suspendu à sa ceinture, et jeta une poignée de sequin sur le comptoir. Le vendeur empocha les pièces d’or sans sourciller.
- Qu’est que tu veux ?
- Le poignard !
Le vendeur sortit le poignard de son étalage et le jeta dans les mains de Georgec, qui contempla, médusé, les dessins de la garde. Ventru s’approcha silencieusement.
- ALLER ! lui tonna t-il dans les oreilles. Dépêches toi d’avancer !
Georgec lui fit la grimace, et prit le temps d’accrocher son arme à sa cuisse gauche avant de sauter dans le chariot. Ventru s’empressa de fouetter les deux chevaux, qui se mirent à trotter, tirant le chariot qui produisit de curieux grincement en avançant. On voyait le ciel commençait se colorer de ton rougeâtre et le disque brillant du soleil se cacher derrière les Collines Mouvantes, ancien territoire de Fée. Ventru ne parlait pas.
- Que se passe t-il, Ventru.
Les yeux dans le vague, Ventru ne répondit pas. Alors qu’ils allaient tourner, il eut un bref éclaire violet qui se passait inaperçu si Georgec n’avait pas les yeux fixait sur l’aubergiste. Aussitôt, il entendit un cri, et vit Ventru basculer en tenant un homme encapuchonnée par le coup. Il lui tordit le bras dans le dos, et l’appuya contre le mur. Puis, il frappa du pied un deuxième homme encapuchonné, qui s’écroula par terre. D’un geste brusque, il enleva le capuchon de l’homme, qui se révéla être le vendeur. Il siffla en direction de Georgec. Ventru libéra le vendeur de son étreinte et le lança vers Georgec.
- Montre-moi ce que tu sais faire !
Georgec tenta de dégainer son poignard, mais il ne fut pas assez rapide, car d’une bourrade, le vendeur le renversa, et le jeta au sol. Ventru l’observait d’un œil critique. Un homme tenta de le frapper par derrière, mais une ombre violette presque immatériel jaillit derrière lui et frappa l’homme. Il s’effondra sur le sol, à trois mètre de sa tête. De l’obscurité jaillit le deuxième homme, une marque de botte sanglante sur la tempe. Un mince filet de sang lui barrait le visage. Il grimaça et lâcha son gourdin improvisé. Georgec se leva rapidement, dégaina son poignard qui glissa en chuintant. La lame au clair, il se jeta sur le vendeur. Ce dernier, habitué au combat de rue depuis sa plus tendre enfance, lui attrapa le poignet d’un air vif, lui frappa du tranchant de l’autre main sur le poignet, le faisant lâcher son arme. Puis, il jeta Georgec contre un mur ou il resta là sonner. Il entendit le tintement du métal contre la roche, lorsque le vendeur ramassa le couteau. Il porta un premier coup. Georgec hurla de douleur, en sentant un liquide poisseux couler le long de sa jambe. Alors que le vendeur lever le poignard pour frapper à la tête, il eut une petite vibration dans l’air et une flèche perça le coup du vendeur. Ce dernier resta un instant debout, peut-être mort. Puis, lentement, il bascula face contre, lâchant le poignard sur la terre, qui fut rattraper par Georgec, qui courut vers le fond de la ruelle courut se placer juste devant lui, lui interdisant le passage.
- Mais vous êtes complètement fou ! J’ai faillit me faire tuer !
Ventru ne prit même pas la peine de le regarder, le renversant d’une simple bourrade avant de continuer son chemin.
- Si tu veux survivre, dit t-il sans se retourner, il va falloir que tu te dépasse.

Le lendemain matin, Ventru réveilla Georgec en lui jetant au visage le contenu d’un sceau d’eau. Georgec s’éveilla immédiatement en hurlant. Ventru lâcha le sceau sur le plancher de la carriole et descendit de la charrette. Georgec grimaça en se mouvant dans ses habits humide, et sorti dehors. Le soleil était déjà haut dans le ciel.
- J’ai préférer te laisser un peu plus de sommeil pour aujourd’hui, étant donné ton aventure d’hier. Maintenant, c’est l’heure de l’entraînement.
Georgec s’approcha. L’ancien aubergiste était debout devant lui, jambes légèrement écarté.
- Frappe-moi.
Georgec crut avoir mal entendu.
- Frappe-moi ! répéta le Maître Esprit.
Georgec leva le bras et essaya de la frapper d’un mouvement de haut en bas. D’un éclair, Ventru se trouva près de lui, esquissa une feinte, inutile, et faucha les jambes du garçon. Ce dernier s’étala dans la poussière du désert qui les environnait. Georgec grinça des dents. Il se remémora alors la fantastique vitesse de Ventru. Mais surtout l’éclair violet. Surement généré par Bonté. Il avait compris.
« Colère ?
« Ouais, Georgec ?
« Tu peux me donner la vitesse de Ventru ?
« …
« Colère !
« Je vais essayer, mais je ne te garanti rien, tout simplement parce…
« Tais-toi ! Il revient à la charge !
Cette fois ci, Ventru frappa du pied en taille. Georgec senti son corps propulsé. Il frappa à toute allure qui, surprit, ne put parer qu’à la dernière seconde. Il avait baissé sa garde. Georgec tenta de finaliser un coup de pied, tendit que le bourdonnement dans ses oreilles s’accentuer. Soudain, il sembla que la jambe de Georgec était prise dans étaux. Puis, il hurla, et des gouttes de sang sortirent de sa bouche. Il s’effondra sur le sol. Il avait l’impression d’avoir été compressé comme un chiffon.
Ventru s’approcha de lui. Il passa sur le corps de Georgec ses mains, emplies d’une luminosité violette. Rapidement, Georgec se sentit un peu mieux.
- Tu as tenté de te servir de ton Esprit, hein ? Mais sache qu’il n’y as pas de raccourci. Si tu veux que ton corps puisse supporter une telle pression, il va falloir que tu entraîne ton corps.
- Qu’est qui va se passer si je ne le fais pas ? demanda effrontément Georgec.
- Ton va corps va être lentement détruit. Il ne te restera qu’un corps semblable à celui d’un vieillard, faible, maladif.
Georgec se releva lentement. Il sentait encore dans sa tête de petit bourdonnement électrique.
- Frappe- moi !
Ils n’arrêtèrent le combat que le soir. Là, Georgec, pantelant, car épuisé, ainsi que couvert d’éraflure, se jeta sur le matelas à l’arrière de la carriole sans même prendre une gorgée du bouillon.
Le lendemain, Georgec fut réveillé à coup de pied dans le derrière. Il sauta une fois de plus immédiatement hors de la carriole. Là, il découvrit que le soleil ne c’était pas encore levé.
- Mais, je vous ai frappé trop fort sur la tête, hier ? hurla Georgec.
- Tu ne m’as même pas touché une seul fois, répliqua Ventrue.
Et Ventru disait la vérité. Cette fois ci, ils coururent. Coururent beaucoup. Lorsqu’ils rentrèrent au camp, plus de 7 heures c’était écoulé. Ventru n’avait à peine qu’un voile de sueur, tandis que Georgec était tout pantelant et pâle. Il dormit comme une souche, après avoir avalée trois litre de bouillon, ou l’équivalent de sa part pour trois jours. La nuit, il se réveilla, pâle, et se mit à vomir. Ventru, qui en dormait pas, vint silencieusement vers lui, le prit par les épaules, le conduisit doucement vers le terrain d’entrainement, au milieu des dunes. Là, il le fit pratiquer des exercices de décontraction. Voyant qu’il reprenait peu à peu, ses couleurs, il lui fit faires des exercices de musculation et de souplesse. Puis, il le fit laver dans de l’eau glacer d’une grotte en dessous des montagnes près du Désert des Murmures. Il ressorti tout bleu. Puis, il le fit courir pour monter une montagne, puis arriver à mit hauteur, le fit redescendre, toujours en courant, et le fit courir jusque vers le camp.
Ainsi, s’instaura une sorte de rythme, ou il courait quatre heures dans le désert près des montagnes, puis, il s’entrainait à la lutte sur le sol d’une caverne à basse altitude. La nuit, il pratiquait des exercices de musculation et de souplesse, ou bien de décontraction. Peu à peu, Ventru introduisait dans le programme déjà plein le combat au couteau et l’art martial elfique bagenshi. Ce dernier art martial était basé sur la vitesse, où il fallait toujours tournoyer autours de la cible, pareille à la terre autours du soleil, et frapper au bon endroit. Et au bon moment.
Cet entraînement dura deux ans. Puis, un jour qu’il était descendu à la ville pour refaire leur provision, ils aperçurent deux chasseurs. C’était l’Elfe Violet et l’Elfe Blanc. Autrement dit, les Chasseurs chargée de Bonté et Sagesse. Ventru grinça des dents, et profitant que l’un de interroger un commençant, le bouscula dans une ruelle étroite. Trop tard. Le commerçant les avait pointés du doigt. L’Elfe Violet se retourna immédiatement, un couteau apparaissant dans sa main. Le Blanc avait subitement disparut. Georgec et Ventru courait à toute vitesse. Soudain, une flèche se planta dans la cheville de Ventru. Ce dernier gémit et s’effondra sur le sol. Georgec se tournait vers lui, lorsqu’il aperçut l’Elfe Violet au fond de la ruelle courant à toute vitesse vers lui. De l’autre côté de la rituelle émergeait l’Elfe Blanc, un carquois à la ceinture, et un petit arc dans les mains. Georgec sentit la chaleur familière de Colère onduler en lui. Son corps c’était musclé tout en s’affinant. Il était maintenant près à affronter les Chasseur. Du moins… Le croyait t-il !
Car dès les premiers coups, il fut mené. Il commença par un poing. Simple et rapide. L’Elfe Violet s’esquiva. Aucune surprise. Georgec sentit des mains grêle lui attraper le bras et le tirer violement vers lui. Il tenta de le renverser par-dessus son dos, et le projeter, mais l’Elfe retourna la technique contre Georgec. Ce dernier heurta violement le sol. Il répondit rapidement sur le sol, mais quatre flèches sifflèrent. Quatre, chacune dans chaque manche, de blouson et de pantalon. Le violet bondit, pour glisser la lame d’un poignard sous la gorge de Georgec.
- Doucement, grinça l’Elfe Blanc d’une voix chantante. Il nous le faut vivant. Je vais appeler Rouge. C’est lui qui détient l’objet de Colère.
Dans sa tête Georgec sentit la panique de Colère.
« Arrache-toi de là !
« Que ce passe t-il Colère !
« Ils sont entré en possession de la pierre rouge dans la quelle j’étais enfermé. Cela veut dire qu’ils peuvent maintenant m’enfermer grâce à l’objet.
Georgec ne perdit pas une seconde. Il laissa à Colère le contrôle de son corps. Celui-ci bondit, frappa du pied sur un des Elfes, l’envoyant voltiger dans les aires. Violet bondit au dessus d’un coup de pied circulaire, mais, alors qu’il dans les aires, Georgec\Colère bondit par-dessus son corps, l’encercla de lien énergétique, qui lui brûlèrent les chaires. L’Elfes hurla. Georgec le lâcha, rebondit sur le sol comme une balle de tennis, et bondit au dessus des toits. Georgec retomba sur un toit, calcinant des briques qui constituait le toit. Georgec se sentait emplie d’énergie brulent, même après le départ de Colère de son corps. Il sentait son souffle brûlant noircir le sol. Il donna un violent coup de poing sur le sol, désintégrant du même coup le plafond de la camisole. Il tomba à l’intérieur. Il resta longuement, allongé sur le sol, le temps que son corps récupère son rythme habituel.
Puis, il se releva longuement. Il eut malgré tout le temps d’apercevoir, à la limite de son champ de vision, un éclair blanc. Il ne sut pas s’il avait eu une hallucination ou s’il s’agissait d’autre chose. Georgec se rendit compte qu’il avait atterrit sur une table moisie. Il l’avait fendu en deux, éparpillant sur le sol des débris de vaisselle. Georgec fit quelque pas hors de la vieille chaumière abandonnée. Il frappa la porte plus qu’il ne l’ouvrit. Son corps était agité de petit tressautement. Il marcha à pas rapide et tremblant vers la ruelle ou il avait abandonnée Ventru. Ce dernier était assis, appuyé contre la paroi du mur. Il sourit en le voyant. Lorsque Georgec passa devant lui, il lui passa sur le corps sa paume, illuminée de violet. Georgec se releva à nouveau, se sentant un peu mieux. La blessure de Ventru avait été guérie. Il se releva, et sourit d’un air encourageant à Georgec.
- Tu vois ! Ton corps supporte déjà mieux les interventions de Colère !
Georgec sourit. Mais ne se mépris pas. Il venait de voir Ventru cracher son sang par la bouche. Il fit semblant de ne pas s’en apercevoir, et de croire qu’il s’agissait d’une petite toux.
Alors qu’ils sortaient de la ruelle, Ventru agrippa Georgec par la manche et l’entraîna vers une petite boutique. Il poussa la porte, et s’approcha du libraire. En effet, c’était une librairie. C’était un tout petit locale, emplie de vieux livres placés sur les étagères. Le libraire écoutait attentivement le chuchotis de Ventru. Puis, il l’emmena vers une trappe. Il sorti de sous son gilet une clé, qu’il glissa dans la serrure camouflée en gros clou. La trappe grinça en coulissant sur le côté. Ventru et le libraire descendirent au fond de la trappe. Georgec descendit de la trappe. Un instant plus tard, elle frappait le plancher en se refermant. D’abord envahit par une obscurité complète, il aperçut une lueur tremblotante d’une lampe s’éloignait. Il aperçut, à la lueur de la chandelle tenue par le libraire, des centaines d’étagères remplies de livres. Georgec marchait silencieusement dans leur pas. Puis, il commença à se glisser tel un serpent à travers les rayonnages parallèle. Dès que son ouï exercée n’entendit plus les pas lourd de Ventru résonnée, et les bottes ferré du libraire frappaient le sol, il s’arrêta. Le libraire posa sa main sur une brique, et un pentacle flotta sur le mur, avant de s’effacer.
« L’enchantement du mur, pensa immédiatement Georgec. Colère ?
« Ouais ?
« J’aimerais que tu me dise tout ce que tu sais sur ce libraire.
« …
« COLERE !
« Je suis désolé, Georgec, mais Amoy…
« Amoy ! Amoy était ton Hôte !
« Bien sûre ! C’est même lui qui m’a demandé de m’occuper de toi.
Georgec réfléchit longuement. Puis, il se glissa vers les deux hommes…
- Viens Georgec ! Martin a quelque chose pour toi !
Georgec sursauta, puis, la mort dans l’âme, s’approcha.
- Tes bruits auraient pu faire sursauter les morts dans leur cercueil !
- Au c’est bon !
Il tourna le regard vers le libraire. Il le détailla attentivement. C’était un homme entre deux âges, mal rasé, des cernes sous les yeux, des cheveux ébouriffés de couleur oscillant entre le brun et le gris. Il portait en outre un lourd manteau noir et une large sacoche attaché à sa cape.
- Sais tu lire et écrire ?
- Bien sûre que non ! se borna à répondre Georgec à son interlocuteur.
- C’est bien ce que je pensais.
Le libraire avait une voix grasse et bourru, complètement désaccordée avec son petit physique. Ventru fit un geste de la main, et plusieurs boules de lumière violette furent éparpillées dans la pièce, révélant une sorte de laboratoire secret, avec une table en pierre, et plusieurs étagèrent, empêchant l’ouverture des portes. Assis sur l’une des deux chaises, un garçon de quinze ans environs, le teint blanc, des yeux rouge, et des cheveux blanc. Il était habillé d’un ensemble noir. Suspendu à un clou, une lourde cape assortit d’une sacoche, semblable à celle du libraire.
- Je te présente Joey, dit le libraire d’une voix douce. Il s’agit de mon élève. C’est lui qui t’apprendra les mystères des runes, comment tracer les signes elfiques. Il t’apprendra aussi à lire le tshaï, la langue locale des humains.
Georgec fit la grimace.
- Joey, je te présente Georgec. Ce jeune Maître Esprit à besoin que tu l’éclaircisses sur le mystère des langues. Si tu pouvais en profiter pour lui donner quelque cours d’histoires je t’en serais reconnaissant.
Joey adressa un petit salut de la tête à Georgec.
- Georgec, commença Ventru, tu va rester ici pendant deux semaines. Sans sortir.
- Mais ! Je ne vais jamais pouvoir tout apprendre.
- Ne t’inquiète pas. Avec les Esprit, il est toujours plus facile d’apprendre quelque chose. De toute façon, si tu oublie quelque chose, l’Esprit te le rappellera.
Georgec frappa le sol de son poing, lassant sur le pavé la marque de ses phalanges. Puis, se détournant des deux hommes, il marcha d’un pas raide vers le garçon albinos.
Il s’assit violement sur le tabouret. Le garçon devant lui sourit doucement.
- Bien. Alors pour commencer, il faut que tu me trace ces mots en tchaï.
Georgec prit la feuille, et traça consciencieusement les écritures demandées.
Le garçon prit la feuille, sourit, puis lui montra les erreurs dans la lettre then, raam, et gyu. Georgec, soudain en confiance avec ce garçon, refit les lettres fausses. Cette fois ci, l’albinos hocha la tête, lui sourit, et lui tendit un large livre, écrit en tchaï. C’était un recueil de conte populaire. Là, Georgec tenta de déchiffrer les mots grâce à d’habile exercice que lui faisait faire Joey. Jamais, malgré les fautes les plus terribles, Joey ne s’énervait. Toujours, avec son calme habituelle, il les lui corrigeait, puis, Georgec recommençait, et Joey hochait la tête à l’emplacement des fautes corrigées. Le sir, il s’endormait sur une couche de paille. Le lendemain matin, Georgec s’aperçut qu’il avait déjà beaucoup moins de mal à déchiffré les lettres même le raam. Les sons lui venaient rapidement en tête. Au fil des jours, Georgec apprit à mieux connaître Joey. Il apprit notamment que le jeune garçon était condamné à rester toute sa vie en profondeur.
- Je suis d’une branche elfique appelée les Claire de Lune, ou les Farts. Je suis tellement avancée en stade que non seulement albinos, les rayons de la lune perforait ma peau. Ma mère m’a conduit j’ai Joe, le libraire, qui a été un bon maître, qui l’a enseignée tout ce qu’il savait. Je le considère un peu comme mon père.
- Un jour, tu sortiras, et tu connaîtras l’effet que fait le vent sur ta peau !
Le jeune homme se contenta de sourire tristement.
Ainsi, Georgec apprit à lire et écrire le tchaï, les runes anciennes, l’elfique, et pouvait déchiffrée, non sont quelque difficultés, certain idéogrammes féériques. Ces dernier était compliqués à cause de leur variété, de leur complexité pour le dessin, et de leur trop nombreuse possibilité pour la lecture.
Les Fe, anciennes habitantes des Collines Mouvantes avaient été chassé par les Humains, pour leurs beaux paysages et pour leur corps. En effet, le sang de fée avait des propriétés magiques, le cœur de fée augmentait la vitesse de guérison, les pieds de fée accentuaient la vitesse, et la tête de fée mobilisait plus de neurone, pendant un court moment.
Le jour du départ, Joey tandis un petit paquet de cuir à Georgec. Ce dernier voulut l’ouvrir, mais le jeune homme l’en empêcha.
- Tu le feras, lorsque tu partiras pour l’Extérieur.
- Tu pourrais venir tu sais !
Le jeune homme ne répondit rien, se contentant de soulever sa chemise noir et de dévoiler de large zébrer qui parcourait son torse et son dos. La chaire avait été calcinée, ne forment plus que de lignes noir et rouges.
Georgec baissa la tête, honteux. Alors que le mur commençait à s’ouvrir, Joey donna une petite tape sur le paquet, puis sur la tête de Georgec.
- Allez, Georgec. Je compte sur toi !
Silencieusement, Ventru ouvrit la porte. Il avait sur la tempe une blessure fraîche de trois jours au plus. Georgec fit semblant de ne pas le remarquer.
Dès qu’ils furent dans la carriole, il ouvrit le paquet de cuir. A l’intérieur, un petit livre. Il l’ouvrit rapidement, décrivant les trois modes d’écritures, le tchaï, les idéogrammes stylisés caractérisant l’écriture des fées, et les lettres stylisées.
- Merci, Joey, murmura Georgec avant de se plonger dans la lecture du grimoire.
Quelque que heures plus tard, il émergea de sa lecture pour avaler quelque gouttes d’eau. Il avait découvert que le grimoire traitait les Esprits et les Maîtres Esprit, par vu des deux peuples, avec des commentaires d’écrivains, suivit de citation de représentant du peuple, notamment Goyot, un écrivain Tchaï, Lydda, une puissante reine Fée, et Faruk, un Elfe, chef des 3 Tribus. Lorsqu’il leva les yeux hors des pages lustré, et ayant reposé son livre, il découvrit que Ventru c’était arrêter près de leur terrain d’entraînements habituels, dans le Désert des Murmures.
- Voyons si tu ne tai pas rouillé, depuis !
Après une semaine, lorsque Georgec parla de son livre à Ventru commença à lui faire des cours d’histoire.
Ainsi, Georgec apprit que l’année 1 correspondait au venu des humains, venu dont ne sait qu’-elle contrée lointaines. Les Fées étaient les plus anciennes des Peuples. Les Elfes étaient en outre venu avant les Humaines. Il y avait eu une race de Dragons, avant l’arriver des Fées. Puis, les deux Races avaient cohabitées, avant des se faire exterminée par les Elfes. Depuis, les Fées avaient tenues les Elfes en mépris. Puis, l’arrivée des Humains. Elle avait été destructrice. Car en 50, Fyt, un Maître Esprit, avait tout d’abord ravagées plusieurs hectares de foret Elfique. Depuis, les Elfes c’étaient montré hostiles envers les humains, les exterminés dés qu’il tentait de prendre ne serais ce qu’un seul tronc d’arbre. Ainsi, le Territoire des Hommes fut séparer en deux grands Royaume, celui de Penarien, demeure actuelle d’Urien, et celui du Point Blanc. Alors que Fyt c’était mis en devoir de rassembler tous ses forces pour envahir l’île du Kodak, un mystérieux Mages vint à son encontre. Aidé des Fée, il brisa Esprit Un, dont l’Hôte était Fyt, le tuant du même coup. Les Sept Morceau de Esprit Un prirent une forme indépendante. On cite Colère, Folie, Méchanceté, Sagesse, Avarice, Bonté, et Joie. En effet, Esprit Un avait été invoqué par l’accumulation de la force psychique de toute les Reines Fée. Devenu très puissants, il acquit une volonté indépendante. D’abord emplie de Bonté, il vira vers la Folie. Il s’échappa. Par Sagesse, il revint vers les Fées. Mais celle-ci le reçurent assez mal. Toute sa Joie fut reléguée dans le plus profond de son être. Il fut empli de Colère. D’un coup, il détruisit le Troisième Palais Féériques, et s’enfuit vers le territoire des Hommes. Là, Fyt le dressa, et l’Esprit ce calqua à sa Méchanceté.
Une fois désassemblée, les sept morceaux de l’Âme Unique furent enfermés dans sept objets. Une Pierre, ronde, rouge, gravée d’un pentacle ; un Froc (sorte de chapeau que portait les Moines du Monastère Blanc, dans le Royaumes du Point Blanc), en métal vert, gravé d’un pentacle ; une Clé, violette, gravé d’un Pentacle ; une Pièce, doré, gravé d’un Pentacle ; une Bague noir, marqué d’un Pentacle ; et bien sûre, un Pendentif blanc, également marqué d’un Pentacle.
Ensuite, le Mage était partie s’émigrer sur l’Ile de la Folie, une sinistre Ile, petite, couverte de savane, dangereuse, équipé de deux Monts Jumeaux. Là bas, tant de voyageurs friand d’aventures avait disparut, depuis le jeune inconscient à l’aventurier endurcis.
Quand aux Fée… avec la perte de Esprit Un, la mort automatique de Fyt. Après trois mois de coma complexe, durant le quel Esprit Un se faisait impitoyablement dissoudre par le Mage. Puis, il mourut, laissant l’empire aux mains de Yann, son jeune frère. Ce dernier rassembla aux moyens d’Elfe désireux d’anéantir les Fée, qu’il jugeait comme de « petites créatures stupides et faisant semblant d’être innocente » trois Maître Esprit, dont Joie, Méchanceté, et Bonté. Puis, il attaqua violement les Fées. Ces dernières commencèrent par repousser les attaques de Yann, avant de succomber contre la force conjugués de trois des Maîtres Esprits. S’ensuivit une grande bataille, ou le Deuxièmes des Grands Palais fut pris. S’ensuivit une grande bataille, ou Fée et Homme s’entretuèrent. Malgré leur Maître Esprit, les Hommes restaient relativement faible contre ces petites bêtes magiques. Finalement, alors que le Troisième et Dernier des Grands Palais, allient être pris, un Maître Esprit abordant la couleur blanche de Sagesse arriva. Il envoya sa force, et déchira une grande partie des Collines Mouvantes. Les Fées se mirent alors habitée les Grandes collines Mouvantes, autrement appelée l’Ile des Fées. Les Petites Collines Mouvantes, aussi appelée simplement Collines es Mouvantes, était de petites collines verte d’herbe, incessamment soufflée par le vent, donnant l’impression de voler.
Puis, s’écoulèrent de longue année, durant le quel le commerce noir des Fées fleurit. En effet, les propriétés exceptionnelles du corps des Fées avaient déjà étaient fait. En 100, le Point créa le Monastère du Point Blanc, qui prit la commande du Pays. Ces Moine Blanc se disait garant du savoir, et dans leur gigantesque Monastère de Lumière, était contenu d’immense trésor de grimoire, en comparaison avec le quel la grotte souterraine emplie de livre de Joe ressemblait à une bibliothèque de bourgeois.
« Autrefois, il y a de longue année, j’ai été Moine Blanc. »
Sur ces paroles, il releva légèrement la manche de sa tunique, dévoilant sur son bras gras, un tatouage presque effacée, d’un cercle qui encerclait cinq autres cercles.
« Ce grand Cercle symbolise la Confrérie des Moines Blancs, et les cinq autres cercle, les cinq Monastère Blanc. Je cite Le Monastère de Lumière, le plus grand de tous, le Monastère Gris, Le Monastère de Marbre, le Monastère de Sagesse (construit par un hôte de Sagesse), et le Monastère de Mage (qui était le repère des plus grand sorcier, la plus part des grimoires et de cahier ayant été écrit par le Mage lui-même).
En 150, avait commencée la guerre contre les Elfes, avec le massacre de Farte, une cité Elfique, et la destruction de plusieurs autre hectare de foret. La guerre continuait toujours.
En 200, la prospérité dans les royaumes humains. Puis, en 210, la naissance de Georgec par une femme inconnue, qui mourut peu après l’accouchement, un père inconnu. Et le bébé fut adopté par l’ancien Hôte de Colère, le Maître Esprit Amoy Batane. Le petit fut appelée Georgec. Georgec Batane.
Il ponctuait ses séances d’histoire avec des périodes d’entraînement intensifs, et de période de lecture.
Ainsi, trois ans passèrent, entre l’entraînement et les balades dans la ville, l’escalade sur le mont GarGar. Et enfin, ils descendirent avec leur chariot pour leur descente annuelle à la ville de GarGar…

Chapitre 3

Georgec et Ventru descendirent donc à la ville. Les visites dans la ville étaient toujours à la même date. L’anniversaire de Georgec. L’entraînement de Georgec avait porté ces fruits et Georgec sentait ses nouveaux muscles saillirent sous la fine chemise. Il poussa la porte d’une auberge, jetant sur le comptoir deux sequins en or. Il faut savoir qu’il y avait deux types de monnaie. Le sequin d’or, qui valait cent sequins d’argent. L’aubergiste se dépêcha d’essuyer ses mains sur un tablier à la propreté douteuse et de leur servir deux verres d’une bière brune et épaisse. Ventru grogna un remerciement. Puis, il plongea ses lèvres dans le breuvage et se mit à aspirer de longues gorgées bruyamment. Georgec demeurait devant sa boisson, le regard dans le vague.
- On n’a plus d’argent. Je pense que je devrais aller faire un tour à l’Arène du coin.
Le Ventru recracha sa gorgée.
- Tu es fou ! C’est le meilleur moyen de te faire attraper par les Chasseurs.
- Mais si on n’a plus d’argent, on va finir par…
- Ce n’est pas le problème le plus grave… le coupa Ventru, avant de laisser sa phrase en suspense.
Georgec écrasa son verre entre ses doigts, puis, jeta les débris vers le Ventru, qui les repoussa discrètement, dans un bref éclaire violet. Georgec se releva, projetant sa chaise à travers la salle, puis monta bruyamment dans l’escalier, sous le silence suspect de l’aubergiste et ses clients.

Le lendemain, Georgec se leva tôt. Il s’habilla silencieusement, se laissa glisser le long des marche, se coula dehors, et se mit à courir dans les ruelles. Bientôt, il arriva devant l’Arène. Chaque ville sous la domination de Penarien avait ouvert un Arène. C’était une immense construction presque toute faites de gradin, plus ou moins haut, entourant une superbe arène en acier trempé, qui faisait un cercle, avant de tomber dans une fosse autour de l’arène. La Fosse séparer de trois mètre les gradins et l’arène. Georgec ferma les yeux, le temps de laisser son calme revenir, puis entra dans l’entré des Gladiateur. L passa au comptoir, tenu par un ancien gladiateur, tout de cicatrice et de muscle, qui lui jeta une bourse d’or contre sa signature. Il fut ensuite conduit dans une geôle métallique. La porte se referma, il entendit la clé claquera sur la serrure, puis les bottes ferré résonnant contre le sol s’éloignait ; il soupesa la bourse, puis la glissa dans sa chemise. Deux heures plus tard, la cellule s’ébranla à la façon d’un ascenseur et se mit à être hisser vers les hauteurs. Le plafond s’ouvrit et le sol de l’ascenseur continua à monter tout seul, hissant Georgec sur le sol de l’arène. Puis, le sol se baissa à nouveaux, le plafond se replia, et le sol en acier tremper reprit sa place. Georgec regarda ses adversaires. Ils étaient quatre. Une jeune fille habillée de cuir, avec des cheveux noirs attaché en chignon au dessus la tête, piqué de trois aiguille. Vers le fond, près de la Fosse, un immense gladiateur, tout bâti de chaire et de muscle, parcourut de cicatrices abominables. Le plus près de Georgec était un gladiateur presque identique au précédent à la différence qu’il paraissait plus petit. Enfin, un homme exceptionnellement petit, tout trapu, aux jambes épaisses comme des poteaux, et au bras maigre surmonté de main immense parcourut de veine.
Sans perdre une seconde, Georgec se jeta sur son voisin. Ce dernier encaissa l’impacte sans bronche, puis, saisissant Georgec sous son bras tenta de le projeter vers la fosse, d’un mouvement de haut vers le bas. Mais, restant agrippé au bras noueux, Georgec passa sous ses jambes, puis, remonta à toute vitesse dans son dos, attrapa le cou du gladiateur entre ses jambes, et basculant sur le côté gauche, le jeta violement à terre. L’impact résonna sur le sol d’acier, qui vibra légèrement. Sans perdre de temps, Georgec étrangla longuement avez ses jambes l’homme, jusqu’à ce que son visage prenne une teinte violette. Puis, il saisit la bourse de son adversaire, et se releva. Il faillit de ne pas la voir arriver. Il se baissa juste à temps, et laissa passer les jambes noueuses de l’Hybride. Puis, saisissant cette même jambes tendu, il la tordu. Puis, mettant son ennemie sous son coude, il frappa du pied si fort qu’il l’envoya par-dessus la fosse. Non sans se saisir au passage d’une bourse. Il frappa le champ de force installé entre les gradins de l’Arène et retomba dans la Fosse. On entendit un bruit sourd lorsque la masse du corps frappa le sable dure qui tapissait le fond de la Fosse six mètre plus bas. Aussitôt après, un bruit sourd et un tremblant de la plaque. Sans effort ou presque, la jeune fille venait de mettre le géant à terre. Georgec s’accroupit immédiatement, et laissa la pointe de métal se ficher dans le sol à un millimètre de sa main gauche. Il vit une goutte de liquide tomber sur le sol avant de s’évaporer dans un petit nuage de fumé. « Poison, comprit immédiatement Georgec ». La jeune fille bougea et ce fut avec une vitesse hors du commun.
« Colère, j’ai besoin de toi. Calque-moi les mouvements de cette fille. »
« Ouais c’est ça »
Aussitôt après, il vit une image en transparence d’une jeune fille lui plantant son aiguille dans le cœur. Il bougea. Avec toute la vitesse que pouvait lui offrir son entraînement. La pointe s’enfonça dans le sol. La jeune fille fronça les sourcille, et s’immobilisa un instant. Georgec ont profita pour la détaille plus profondément. C’était une jeune fille, qui ne devait guère avoir plus que quinze ans, comme lui. Elle était habillé d’un ensemble de cuir, net deux sangle métallique sur ses épaules, supposait accueillir es attaches d’une cape de camouflage. Elle avait de long cheveux noir qui lui tombait dans le dos jusqu’aux reins. Parmi les trois aiguilles empoisonnait quelle posséder dans les cheveux, une était planté dans le cou du géant et le perçait de part en part, une seconde, était entre ses mains, et la dernière planté dans le sol, près de l’endroit que Georgec venait juste de quitter. Mais Georgec entrapercevait aussi un étui à aiguille sur sa cuisse gauche. Mais déjà, elle repartait à l’attaque. C’est alors qu’il aperçut un éclair bleu. Il se baissa aussitôt, craignant à l’apparition d’une nouvelle arme. Mais, il ne vit que l’œil de la jeune fille. Il s’appuya, un peu fatigué contre un pilier de la Fosse. Dans le gradin, un homme hurlait. « Je parie que Georgec gagnera Evolenne. ». La jeune fille s’appelait donc Evolenne. Georgec la regarda dans les yeux, avant d’apercevoir l’image par transparence de l’aiguille filant vers lui. Planta ses yeux dans les yeux noirs d’Evolenne. Noir. Bleu. Il comprit. Il esquiva l’aiguille fonça vers elle, passa près d’elle en un coup de vent, ne ménageant aucune énergie.
Evolenne vit passer Georgec à toute vitesse près d’elle. Vit son œil Rouge. Colère Reconnut Avarice. Il eut un éclat de lumière qui passa entre, eux, et ils figèrent leur mouvement, l’un face à l’autre. L’œil gauche lumineux, et de l’œil droit se scrutant mutuellement, regardant cet enfant si proche l’un de l’autre, et pourtant si lointain. La jeune esquissa un geste de recule. Ne put pas. Soudain, une forme encapuchonnée apparut entre eux. C’était un homme portant un manteau bleu vif.
- Evolenne. Vous êtes en état d’arrestation par ordre de Seigneur Urien.
Ce fut le signale. Le genou d’Evolenne fusa vers l’Elfe, qui esquiva, mais se retrouva ainsi face à Georgec. Non. Pas Georgec. Pas Colère Non plus. Non, c’était Maître Colère, qu’il avait en face de lui. Le poing de celui-ci vibra près de son oreille, le manquant de peu. Mais le genou d’Evolenne, lui, ne le rata pas une seconde fois. Elle le frappa au niveau du plexus solaire, et l’envoya vers la Fosse. Il y serait surement tombé, si une forme jaune ne lavait intercepter au moment ou il allait tomber. C’était un autre Elfe. Sans doute chargé de Joie.
- Ont ce le fait à deux ?
Elfe Joie avait une voix claire et chantante.
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Georgec Batane Empty Re: Georgec Batane

Message par Caine Sam 6 Avr - 7:56

L’Elfe grogna.
- A toi l’honneur, continua t-il.
La forme violette encapuchonnée ne se fit pas prié. Il bondit vers Evolenne, et au dernier moment, allongea une botte, et frappa Georgec au visage. Evolenne s’apprêtait à le frapper de dos, mais l’Elfe Joie intercepta son poing. Evolenne grimaça lorsque les doigts ganté se refermer en craquant sur ses doigts. Il l’attira contre lui, et la projeta au sol. Georgec tenta de faire appelle à Colère, mais à peine avait t-il repoussé le Violet, que deux autre Elfes tombait. Il y avait un Vert et un Bleu. Quatre Elfe dans une arène en pleine forme contre deux Maîtres enfant et diminué. Le combat était trop inégal. Déjà, les Elfes, les encerclait. Georgec tenta de passer à l’attaque. Le Jaune s’esquiva sous son pied et en un éclaire violet, il fut saisit et projeter à terre par la gorge. Un coup de poing d’Evolenne pour briser l’étreinte du violet, mais elle fut rejeter en arrière par le Vert. Les deux Maîtres retournèrent à leur abri, tandis que le cercle des Elfes s’enfermait impitoyablement, sans échappatoire. Les deux enfants se recoquillèrent l’un contre l’autre. De leur main, les Elfes firent jaillirent leur lames. Ils se rapprochaient de plus en plus jusqu’à ne plus être qu’à un seul mètre des enfants. Georgec pouvait presque apercevoir les trait des Elfes, leur oreille pointue et tirait en arrière, leur peau bleu pâle, un nez pointue, mais déjà une lame masquait un visage. Ils s’arrêtaient. Prenait leur temps. Georgec tremblait légèrement. Evolenne sortait convulsivement ses aiguilles, arme inutile au combat rapproché. Le Jaune ouvrit la bouche, laissant échapper un petit sifflement.
- Alors. Vous allez répondre à nos questions. Qu’est que vous faites ici ?
Georgec ouvrit la bouche, mais un bruit violent l’interrompit. Le sol tremblait légèrement. Et dans l’explosion de lumière violette, Ventru jaillit. Surplombant les enfants de sa masse, il leva haut les mains vers le plafond en hurlant. Ces yeux violets irradiaient de lumière le visage des elfes qui reculait en se tordant. L’Aubergiste hurla et une colonne de lumière violette monta vers le plafond expulsant les quatre Chasseurs à travers l’Arène et les jetant dans la fosse. Georgec leva vers lui des yeux étonné. Sans s’arrêter, l’Aubergiste fit léviter vers lui un des corps. Celui habillé de Violet. Le frappa sous le poumon avec deux doigts. Les retira sanglants. L’Elfe s’effondra sur le sol. Ventru grimaça et secoua les doigts. Au sol, l’Elfe se tortillait, tandis que les trois autre Elfes surgissaient. En un éclair, Ventru fut sur eux. Il les jeta au sol. Alors, le silence ce fit. Dans le silence, le corps d’un Elfe encapuchonnée de noir tomba sur le sol. Sans un mot, il releva l’Elfe habillée de violet. Lui posa une compresse sur le poumon droit. L’Elfe Violet gémit doucement. L’Elfe Noir fit un mouvement du doigt, dévoilant des mains gantée, sur le quelle était ceignit un anneau noir gravée d’un pentacle presque effacée. Il se releva lentement. Ventru croisa son regard avec effroi. L’Elfe leva lentement le bras, hérissé de la bague marqué d’un pentacle presque effacé. Et d’une clé violette. L’Elfe ouvrit la bouche et parla d’une voix grâle marqué d’un accent.
- Humeur, Regagne Ta Demeure.
Ventru se figea en plein élan. Alors que l’Elfe allait frapper, il eut un éclair blanc. Trop tard. Maître Colère se sentit soulever par les bras et jeter sans ménagement sur un lit. Un lit ? Il se trouvait dans un mausolée abandonnée. Seul. Puis, Ventru apparut près de lui dans un éclair blanc. Mort.
Les yeux de Georgec rayonnèrent, et soudain, tout le mobilier implosa silencieusement, cachant le corps de Maître Colère. Lorsque les décombres retombèrent, Georgec avait disparut.
Georgec apparut dans un éclair rouge sur la place du marché.
« Mais qu’est qui c’est passé, merde ! Colère ! Répond moi !
« Le Maître Esprit qui a transporté Bonté et toi était beaucoup plus rapide. Mais pas assez pour empêcher Bonté d’être scellé.
Sellé. Le mot flotta longtemps dans la tête de Georgec.
« Et l’Extraction tue l’Hôte ?
« Tu as eu un exemple sous tes yeux.
« Je vais essayer de repérer les deux Maîtres Esprits. Sagesse et Avarice. »
Georgec envoya son esprit à la recherche des Esprit. Il se concentra sur les bordures de son champ de vision, et entraperçut une forme blanche et bleu volé à toute vitesse vers les montagnes. Il utilisa sa super vitesse et se projeta à travers la matière en direction des deux feux follets qui voltigeait à la limite de son champ de vision. Trop tard. Les deux feux disparurent. Georgec stoppa immédiatement sa course. Elle était inutile. Mais il savait que d’une manière ou d’une autre, il se reverrait. Il vérifia la distance. Revint vers le chariot. Fouetta les chevaux après les avoir nourris. Direction village Avarice.

#
# #

A peine avait t-il franchit les portes de la ville qu’il déboucha dans le désert. Aux chevaux, seul. Il ne s’ennuyait pas.
« Ça va, Colère ?
« Ça va, ça va. Tu veux me parler ?
« Ouais. Je voudrais savoir qui était tes précédents porteurs.
« Je n’aime pas vraiment parler de ça. Vois-tu, tout ce que je peux te dire c’est que ça fait toujours très mal de se faire séparer d’un corps après avoir sympathiser avec lui. Je vois mon porteur arriver, parfois se méfier, puis s’ouvrir à moi, puis, dépérir… enfin, l’arrachement au corps mort, et enfin, de nouveau l’enfermement dans la Pierre Rouge.
« Oh ! Je suis désolé. Mais, est que tu peu au moins me parler d’Amoy, et des capacitées des Maître Esprit ?
« …
« COLERE ! AMOY ETAIT MON GRAND-PERE !
« Il t’a adopté ! protesta Colère.
« Un vrai grand-père est un grand père qui s’occupe de son petit fils ! Mon grand-père de sang, mon ‘vrai’ grand-père, comme tu dit, je ne le connais. Il ne m’a pas cherché, ne m’a connu, ne sais pas occuper de moi comme l’a fait Grand-Père Amoy ! »
Colère resta un long moment silencieux, puis commença son récit.

90
Amoy Batane était un jeune garçon du village Colère. Il venait de voler quelque bâton sucré à un groupe de brute de quatorze ans, autrement dit quatre ans de plus que lui. Il courait à toutes jambes vers les cavernes basses de GarGar, où il savait qu’il pourrait se cacher sans se faire rattraper. Il distança enfin ses poursuivants, et courut se cacher dans les grottes. Malheureusement, il eut le malheur de faire tomber sa sucette. Elle se brisa sur le roc avec un bruit creux, qui retentit dans toute la grotte. Aussitôt, il eut des cris, et Amoy entendit à nouveaux un bruit de galopade. Il grinça des dents, se releva, et s’enfonça encore plus profondément qu’il n’y était jamais allée. Rapidement, le bruit de course s’atténua. Amoy continua à avancer. Soudain, son épaule heurta un rocher, qui gronda en s’effondrant. Au moment ou les galopins aller entrer dans le petit tuyau, un écoulement leur barra le chemin. Ils poussèrent un cri de victoire et s’enfuirent en courant. Amoy ne paniqua pas tout de suite. Il suça d’abord les quatre autres bâtons de sucres, puis, une heure passé, il commença à paniquer, il commença par frapper le roc, puis hurla. En comble de panique, il se mit à frapper l’ouverture minuscule, qui s’ouvrait sur le tuyau. Une Pierre Rouge lumineuse tomba dans la limite du champ de vision d’Amoy. Il se retourna, et observa la Pierre Rouge, marqué d’un Pentacle blanc flamboyant. Il la ramassa… et eu un choc. Il venait d’intégrer Colère.
Plus tard, il rentra au village. On donna une fête en honneur à son retour, car en tant que fils du chef du village, sa disparition aurait été néfaste.
Après la fête, Les cinq adolescents l’emmenèrent près du désert, loin des adultes. Là, ils le bastonnèrent.
Amoy commença par encaisser les coups sans broncher. Même si les cinq enfants l’handicaper, il ne serait pas puni, car, ici, seul les forts survivaient. Et Amoy ne serais jamais respecter si il ne devenait pas fort. Alors qu’il se sentait dépérir, les cinq enfants jetèrent son corps gonflé et couvert d’ecchymose.

95
Fête de l’année. Entraînait grâce à Colère, il ne subira plus l’attaque de ces voyou. Come d’habitude, ils le traînèrent près du désert. Amoy les dévisagea. Guardi, Fynym, Jumi, Tami, Rami, et autrement dit, les frères jumeaux Kalouga. Guardi tente de frapper en premier. Ne rencontre que le vide. Déséquilibrer, il suffit d’une poussée pour qu’il s’affale, face contre terre Il grimace, et appelle ses frères à la recouche. Fynym frappe le second. A peine avait ‘il amorcé son geste qu’il se, plia soudain en dieux. Puis, remontant son genou, Amoy l’envoya valdinguait, à plat dos, le nez en sang. Jumi et Tami, plus prudent, tentèrent de le prendre en tenaille. Ce ci ne fut que plus facile. Amoy s’accroupit rapidement, et les poings des deux frères volèrent, se frappant mutuellement. Il balaya ensuite leurs jambes tremblantes d’un coup de pied circulaire. Les deux jumeaux s’écrasèrent sur le sol, sans bouger.
Restait Rami. Ce dernier était resté immobile tout le long du combat. Ce denier était comme en pouvait le dire, le meneur de la bande. Il était expert en matière d’art martiaux, et était doté d’une musculature phénoménale pour un jeune homme de son âge. Sans hésiter, il jeta sa chemise sur le sol. En dessous de ses biceps était ceignit deux bandes de couleur rouge, indiquant qu’il était le champions du village. Le premier coup fut décisif. Amoy se glissa entre ses jambes, et tenta de le frapper dans le dos, mais d’un coup de coude arrière en plein visage, Rami l’étala. Amoy gémit en ce tenant sur le visage. Rami tenta de s mettre sur lui, mais Amoy bougea de nouveau de sa stupéfiante vitesse. Cette fois ci, il tenta une clé de bras, mais Rami banda ses muscles, et fit tournoyer son bras, projetant Amoy devant lui. Alors qu’il était en plein air, Il joignit ses deux mains en forme de poing, leva bien les bras, et le frappa au ventre. Amoy heurta violement le sol, eut un soubresaut, et cracha un peu de sang. Jumi et Tami était toujours étendu par terre. Guardi commençait à se relever, aidant Fynym à faire de même. Guardi leva un poignard, et jeta une dague vers Rami. Ce dernier eut un sourire cruel, et abattit sa lame. Elle perfora un de ses poumons, jetant Amoy sur un chemin qui le mènerait vers la mort, déclenchant immédiatement un mécanisme de défense instauré par les Esprit. Colère et Amoy fusionnèrent, pour ne plus faire qu’un. Autrement dit, une Cérémonie de Mort. Une vague énergétique frappa les cinq garçons, propulsant les cinq corps dans les aires. Puis, une vague de feu, puis une dernière vague énergétique. Les cinq s’effondrèrent.
Les six corps furent retrouvés par les villageois. Il y avait le corps sans vie de Rami, Guardi, complètement fou et ayant perdu un bras, l’autre ayant été fondu avec la lame de son poignard, et complètement dépourvut de pied. Les deux frères jumeaux inséparable, Jumi et Tami, avait le corps couvert de brûlures et ne conservait aucun souvenir de ce que pensais les villageois être une attaque d’Homme de Sable, ayant traversé le Taner. Mais une question se posait. Pourquoi aucune arme n’était retrouvée ? Pourquoi les blessures étaient si diverses, et le jeune Amoy, la poitrine transpercer d’un coup de dague gisait au milieu d’entre eux, dedans un cercle de sable noir. Aucune des questions ne fut élucidée.

100
Amoy participa a la construction du Monastère Blanc, ou il était connut pour ses éclat de Colère. Puis, il intégra le Monastère Sagesse, là ou il rencontra un étrange Moine, nommée Gymatso. Gymatso était le gourmand réceptacle de Bonté. Ils se Reconnurent, au moment ou Bonté arrêta une armoire prête à écraser. Là, Amos entraîna Gymatso.

150

Amoy participa à la guerre contre les Elfes. En effet, l’une de leur cité en bordure de foret avait donnée un assaut injustifié sur le village Colère, tuant nombre de ses connaissances. Il parti donc en guerre, la Colère dans le cœur, et la Puissance dans les mains. Dès la première guerre, il fit exploser, aidé de Bonté, la moitié de la cité. L’autre fut massacré impitoyablement, malgré leur drapeau blanc. Puis, Amoy monta au sommet de la Tour Elfique, et affronta son chef, le jeune Fiori.
Il faut d’abord dire que les Elfes vivent parfois jusqu’à plus de cent cinquante ans, et que pour eux, Fiori était un enfant. Un enfant-Roi. Amoy l’affronta rapidement, et le vainquit au terme d’un furieux combat, au cours du quelle fut transpercer par une lame brûlante elfique au niveau du ventre. En retour, Amoy barra le visage de l’Elfe de cinq brûlures parallèle. Mais il l’avait finalement épargnée le jeune Elfe, le faisant promettre, que si lui, ou bien sa descendance avait besoin de lui, l’Elfe devrait lui rendre le service.

160
Naissance d’un enfant, l’enfant d’Amoy et Jasmine, la femme d’Amoy, une modeste villageoise du village Bonté. L’enfant fut appelé Jo, et manifesta très tôt une grande attirance pour les livres.

170
Naissance de Mat, (appelée l’Oncle par Georgec), qui était un chef dans l’âme.

190
Après une violente dispute avec son père, Joe s’enfuit du village, et avec la protection de Bonté conte la fureur de Amoy, prend refuge dans une petite échoppe de livre, à la ville GarGar, derrière la montagne. Mat devient l’héritier d’Amoy.

210
Une jeune étrangère est arrivée, accompagnée de son majordome. Elle devait être de famille riche, autrefois, car maintenant, ses habits était sale, et le majordome avait les habille en lambeau. En outre, elle était enceinte. C’est ainsi que naquit le jeune Georgec. Le lendemain, sa mère mourrait sans que l’ont ne puisse rien faire, par hémorragie interne. Le lendemain, Amoy revenait d’un voyage au Point Blanc, accompagnée de l’amnésique Gymatso, qui avait oublié son nom sous les cuves de vin, et qui se faisait désormais appelée Ventru Cruche.
Il a adopté l’enfant, et l’éduqua, en tant que son Grand –Père bien aimé…

202
Amoy se sent dépérir. Malgré les pouvoirs de l’Esprit, il sent qu’il arrive à la fin de sa vie. Mais il ne veut pas que Colère soit à nouveau perdue dans la montagne. Il revient dans le GarGar, qui n’a pas beaucoup changée malgré ses 112 années. Il entre dans le tunnel, guidé par sa Vision. Retrouve la Pierre Rouge, qu’il enveloppe soigneusement dans un mouchoir blanc.

205
Amoy se sent dépérir, atteint par un cancer incurable. Sur son lit de mort, il donne la Pierre à Georgec. Et offre le commandement du village à Mat. Puis il meurt.
Aussitôt, c’est l’arrachement, et je me sens regagner la Pierre Rouge. Le sur lendemain, lors des obsèques d’Amoy, Georgec Touche la Pierre, et m’intègre.
La suite, tu la connais.
Chapitre 4

Georgec arriva enfin à une petite ville, appelé Fi. En passant les portes, sa main effleura le manche de son poignard fixé à sa cuisse. Il faisait nuit. Il traversa à petit trop les longue allée. Il eut un mouvement furtif. La main de Georgec vola immédiatement, et le poignard vola vers l’ombre. Il eut un éclair, et le poignard ricocha contre un objet métallique. Une aiguille. Georgec sauta du chariot, et courut vers, l’ombre, ramassant son poignard au passage.
« Colère, une Vision Nocturne, s’il te plaît !
« OK ! Attention, il y a le réceptacle de Sagesse au dessus de toi !
Georgec bondit vers le haut. Il y avait effectivement une forme blanche enveloppée d’une cape. Un arc jaillit, armé d’une flèche. Elle vola vers Georgec. Ce dernier laissa Colère prendre le contrôle de son cops. Il vit son poing attraper la flèche. La petite forme encapuchonnée, tombait de plus en plus rapidement vers le bas. Georgec prépara ses mains en prévision de l’atterrissage. La forme heurta le sol une seconde avant lui. Elle rebondit comme une balle, et disparut dans un éclair blanc.
Georgec grinça des dents. Sa Vision l’indiquait que Sagesse et Avarice, autrement dit un ou une inconnu voyageant avec Evolenne, était partie en direction du Village Avarice.
Il était trop épuisé pour continuer à ,voyager, et e posséder pas l’extraordinaire vélocité de Sagesse, quia jouté à la propre vitesse de son réceptacle, qui était déjà, aussi fulgurante que celle de Georgec doublé de Colère, en faisait un Maître Esprit ultra rapide.
Georgec grinça donc des dents, et revint à son chariot, ou il découvrit quatre aiguilles doublé de deux flèches sur le flan du chariot.
#
# #
Dans la nuit, deux silhouettes encapuchonnées. L’une, plus petite que l’autre, était tout en blanc, sur un cheval brun. Accrochée à la selle, un arc et un carquois remplie de flèche. A son côté droit, galopant légèrement plus lentement, la silhouette plus grande. Plusieurs sacoches pendait, à la selle de son cheval gris, et sous sa cape transperçait deux étuis à aiguilles. De sous le capuchon, tombaient une masse de cheveux noir.
- Pense que nous avons raison d’écarter Colère de notre groupe ?
- Oui, bien sûre. Une personnalité aussi instable ne serait que dérangeante.
Evolenne resta un long moment silencieuse, laissant le silence s’installer entre elle et Sagesse.
- Sawa ? Tu suis ce que Sagesse te dis ou ce que ton cœur te dis.
Sawa ne répondit rien.
Evolenne soupira, puis, de rage envoya une aiguille plus lourde que les autre se planter dans un rocher.
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Urien était debout, sur le toit circulaire et plat de son donjon, lorsque sept gardes accompagnée de deux Elfes firent irruptions sur le plateau.
- Nous avons tué le réceptacle de Bonté. Voici l’Objet de Scellement.
La main ganté tendis clé violette. Urien la saisit à main nue. Il ne craignait pas d’intégrer Bonté, car il avait déjà un Esprit. Il en pouvait donc pas en intégrer un second.
- Qu’en est t-il de Sagesse, Avarice, Colère et Folie ?
L’Elfe Violet s’avança. Ayant été libérer de sa mission, il pouvait maintenant rester au château. Finit, les longue cavalcade, les longue bataille, les intrusions dans le cerveau des humains. Evidemment, il lui faudrait, avec Elfe Jaune et Elfe Noir, qui avait été mystérieusement libérer de son ordre de mission, et qui restait près d’Urien, secourir les autres Elfe en cas de difficulté. Mais pour le moment, il s’apprêtait à prendre un congé bien méritait.
Urien grinça des dents. Les nouvelles tardaient à venir. Et pour lui, c’était mauvais signe.
- Colère e Avarice ont été repérer dans une Arène. D’après nos renseignement, nous avons repérer Colère à sa première tournée, mais Avarice fréquentait déjà l’établissement depuis une semaines et…
- UNE SEMAINE !
Urien hurla de rage et dans sa colère, saisit un garde à la gorge. Malgré ses hurlement, il leva vers le soleil, puis le projeta vers le sol a ses pieds. Le malheureux heurta le sol avec un bruit cd mat. Il eut un craquement, et il devint aussi mou qu’un poupée de chiffon. Il s’effondra entre les jambes d’Urien, qui respirait très forts pour se calmer.
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# #
Pendant ce temps, Georgec était allé déposé sa charrette à l’auberge, puis avait pris d la bière brune avant d’aller dormir. Il c’était réveillé tard, puis, c’était immédiatement levé pour réviser ses exercice d’assouplissement et de décontraction, après avoir vérifier sa force en frappant la paroi de pierre du mur, il descendit l’escalier, qui grinçait sous ses pas. Il s’attabla à une table, lança dix sequins sur le comptoirs, et réclama à cor et à cri sa bière brune. Plus tard, il courut dans la rue, à la recherche de renseignement. D’après ce qu’il put trouvé, il s’aperçut que en effet, deux jeune cavaliers, mystérieux était arrivée en ville deux jours plus tôt. Ils avaient l’air pressé, parlait peu, avait fait une réserve de provision, était passé chez l’armurier de la ville achetée des flèches t des aiguilles, pui,s il avait disparut dans la nuit.
« La nuit d mon arrivé, pensa Georgec.
« Oui. Il s’agit évidemment de Evolenne et de Sagesse.
« Evidemment. Maintenant, en route pour le village Avarice !
« Attention ! Ce village n’a pas volé son nom, car il a été contaminé par l’Esprit jusqu’à la moelle !
« Hein ! Qu’est que tu veux dire ?
« Tu verras ! »

Arrivée au village, Georgec se rendit bientôt compte qu’il était avare. Non. Il était Avare. Avec un grand A. Avare de mouvement, avare de parole, le surnom de leur village, la Ville Sans Mendiants n’était pas usurpée.
Il ne parvint pas non plus à avoir le moindre renseignement sur les deux Maîtres Esprits.
En comble de malchance, il ne parvint pas à trouver le moindre établissement dépourvue de prix déraisonnable.
Ici, seul l’air que l’on respirait été gratuit ! Et encore…
Georgec réussit finale à se camoufler dans une décharge, la quelle encore plus vide que ce que l’on aurait pu s’y attendre. Il se cacha sous un canapé défoncé , et s’endormit après avoir avalée un pain gris acheté à la ville Fi.
Le lendemain, il fut réveillée par un éclaire bleu près de son œil gauche. Il se releva immédiatement. Malheureusement, il ne ‘s’agissait pas d’un Maître Esprit, mais d’un Garde Ville. En effet, les avec de Avarices avaient pour coutumes de faire payer un prix exorbitants pour chaque jours passer dans l’enceinte « protectrice » de la ville. Pour « éliminer les « ingrats », des Gardes Villes patrouillaient la nuit, armée de lance et de glaives ; habillée de longue cape bleue, de bottes foncée ferrée, et un masque d’acier leur masquant le visage, à l’exception de deux trous. Ces Gardes, étaient réunis en une caste, évoluant de Garde Soldat à Garde Commandant, en passant par Officier et Capitaines, le chef intérim des Gardes., près à frapper les inconnus, et les marauds. Georgec ne perdit pas de temps. Il le bâillonna de s main, puis le frappa dans l’entrejambe. Le garde gémit à travers la main de Georgec et s’effondra.
« Colère, une Vision s’il te plaît.
« OK… je t‘averti maintenant que je sens un grand nombre de Garde converger vers nous !
« Très bien Colère.».
Georgec se prépara, puis bondit par dessus le mur d’enceinte qui encerclait la décharge. Puis, il se mit à courir. En passant par la place centrale, il remarqua placarder sur le mur, son visage, suivit de la mention COLERE Georgec, 15 ans, originaire du Village Colère. Suivait le sceau de Penarien. En gros, 100 000 sequins offert pour sa capture.
A ses côtés, le visage d’une jeune fille rebelles, une masse de cheveux noirs dégoulinants dans son dos, lui cachant une moitié de visage. Au dessus de son nom, Evolenne, la mention AVARICE en lettre bleu, suivait l’âge, 15 ans, puis l’origine. Georgec ne fut pas surpris de découvrir que la jeune fille venait de Avarice, et qu’elle était une voleuse redoutait dans tout le Royaume du Point Blanc. 400 000 sequins pour sa capture.
Mais, ce qui attira tout de suite l’attention de Georgec, ce fut deux images. La premières, celle de Ventru, dépourvut de nom, simplement titré du mot BONTE en lettre violette. En dessous, le visage serein de son Maître, avait été barré d’une croix violette. La suivante montré un capuchon blanc rabattu, d’ou émergeait quelques cheveux noirs, suivant de la mention SAGESSE, et du nom Sawa. Il s’apprêtait à lire la description détaillée du garçon, l’âge, point particuliers, arme préféré, lieu d’origine, entourage, dernier lieu ou il avait été aperçut, et le chiffre de sa capture), mais n’eut le temps que de déchiffrer la récompense de sa capture.
700 000 000 000. Georgec fut si étonnée, qu’il faillit ne pas voir la lance se ficher à trois centimètre de sa bottes ferré.
Avec une telle somme, n’importe qu’elle homme pourrait faire vivre son entourage pendant de très longue année !
« Mais n’importe qui ne pourrait pas l’attraper, dit la voix de colère dans sa tête.
« Oui…
« Je t’averti également qu’une dizaine de Garde sont entrain de te rattraper ! »
A ce moment, il eut un sifflement aiguë, et une flèche se planta avec un bruit de mat dans le cœur d’un Capitaine. Georgec se retourna, et aperçut un second Capitaine hurler.
- REND TOI, COLERE !!!
Georgec se mit en mouvement, fauchant tout d’abord les jambes d’un premier garde, puis enfonçant son poignard dans la gorge du deuxième, seul point non couvert par la cuirasse. Il eut un éclaire bleu derrière lui. Il s’apprêtait à frapper, lorsqu’il reconnut Evolenne, enveloppée dans une cape identique à celle de ses ennemis. Georgec acquieça, et Evolenne bondit. Alors, ce fut un formidable ballet, comme à l’Arène. Evolenne frappa, une aiguille fendant l’attache de la cape d’un Garde. Georgec en profita pour frapper dans un défaut de la cuirasse. Evolenne bascula sur le sol, roula entrer les jambes d’un Capitaine, et se redressant brusquement, le frappa dans le dos. L’homme s’effondra. Il ne restait plus u’un officier. Ce dernier tenta de battre en retraite. Georgec s’accroupit pour mieux lui sauter à la gorge, mais il fut retenu en plein élan par Evolenne. Le Garde Officier s’éloignait de plu en plus. Il allait fuir à toute jambes, lorsqu’il s’effondra brutalement sur le sol, face contre terre. Le masque métallique tomba sur le sol en tintant, révélant un visage marqué de deux cicatrices en croix, barbu, et brun. Il avait les yeux légèrement ouvert, mais de sa bouche gouttait quelle que
larmes de sang.
De derrière son ombre massive surgit un jeune enfant enveloppaient de blanc. Son visage était masqué d’un masque de métal, semblable à celui que portait les Gardes Avarices. Il le retira et le laissa tintait sur le sol. Il avait un visage jeune, pâle, presque blanc. Quand a ses cheveux, noir comme la plus profonde des nuits. Quelque mèches barrait son fin visage, mais le gros de ses longs cheveux étaient amassée en une queue de chevale lâche, qui glissait dans son dos, disparaissent sous la cape blanche. Sous la cape transparaissait des vêtement de cuir sombre. Un arc de bonne qualité était fixé à son dos au moyen de sangle, de façon a pouvoir être tenu assez solidement pour ne pas tomber lors de pirouette aérienne, mais pouvait être détaché à une vitesse superbe, en effleurant simplement la sangle centrale, et faisant tomber le harnais.
Georgec s’aperçut avec surprise que le jeune combattant ne devais guère avoir plus de 8 ans.
Il ouvrit la bouche surpris, mais le jeune réceptacle de Sagesse le coupa froidement.
- Tais-toi. Nous risquons, Evolenne et moi nos vie pour sauver la tienne. Alors dépêche toi de nous suivre. Ne ménage pas tes efforts.
Sur ces propos, il souleva sans difficulté apparente le corps volumineux du garde, et il disparut dans un éclair lumineux. Evolenne se releva, faisant tinter sur le sol quelques aiguilles perdu dans les plies de ses vêtements. Puis, elle esquissa un geste vers Georgec, qui se dégagea avec colère.
- Je sais très bien me déplacer à cette vitesse tous seul.
Puis, il disparut en même tant qu’elle dans un éclaire coloré.

Plus tard, Georgec, Sawa et Evolenne se retrouvèrent dans un camp, près d’une petite montagne. La montagne Avarice, qui surplombait le gros village parcourut de couleur bleu vif.
Près de Sawa, attaché contre un poteau, l’homme capturé. La cape de ce dernier était en lambeau, et sa cicatrice paraissait plus luisante qu’il ne l’avait aperçut la première fois. Il grogna avant qu’Evolenne est eu le temps d’ouvrir la bouche. Puis il ouvrit la bouche et se mit à hurler. Moins d’une demi seconde plus tard, Evolenne lui flanchait son pied dans les parties sensibles, lui interrompant son hurlement, et le transformant en misérable gémissement. Sawa la regarda de son regard foudroyant. Evolenne haussa les épaule et retourna s’assoire près d’un tas de braise rouge, et s’activa a ranimer le feu. Sawa soupira, puis dit à Georgec.
- Tu peux aller la rejoindre !
Georgec rougit d’indignation.
- Eh ! Minus ! Si tu crois pouvoir me commander tu te fourre les doigts dans les yeux !
Est que j’ai un tête de c… !
- Va t’asseoir ! le coupa Sawa d’une voix si tranchante qu’elle se brisa.
Georgec, surprit, esquissa un geste de recule.
- Tout de suite.
Georgec eut un reniflement méprisant. Puis, il se retourna, lui tournant délibérément le dos. Puis, il s’assit en face d’Evolenne.
La jeune fille avait lié ses cheveux en une longue tresse qui pendouillait sur ses habits e cuir. Elle c’était débarrassé de sa cape bleu vif, qui traînait telle une serpillière sur le sol détrempée. Elle leva les yeux vers Georgec , le foudroya du regard, puis, revint à sa tache. Elle frappait deux silex en pierres, qu’elle réduisaient en poussière entre ses doigts plus qu’elle ne faisait du feu. Georgec la laissa frapper ses pierres pendant dix minutes, tout en regardant le manège de Sawa. Ce dernier avait libéré le Garde Avarice, et il avait maintenant l’air de se parler l’un l’autre tranquillement. Mais c’était sans compter le regard apeuré que glissait de temps à autre le Garde vers Sawa, qui, tranquillement, ne le regardait presque pas.
- D’habitude, c’est Sawa qui fait le feu.
C’était Evolenne. Georgec la dévisagea sans répondre.
- D’ailleurs, je n’ai jamais réussis à manier cette saleté.
Elle jeta les pierres sur les braises. Georgec la dévisagea encore quelques secondes, puis ramassa les pierres. Il les frappa régulièrement, puis, enfin , une étincelle creva à la surface des pierres. Elle heurta le bois humides avec un petit craquement, puis s’évanouit.
- Impossible d’allumer un putain de feu avec des branches mouillée, dit rageusement Georgec en lâchant les pierres, qui roulèrent retrouver leur places dans le feu.
- Sawa y arrive bien, dit-elle effrontément.
- Rien à foutre, murmura Georgec.
- D’ailleurs, continua t-elle reprenant contenance, Sawa a toujours refusé que tu intègres notre groupe. Au début je n’ai pas compris, jusqu’à ce que je vois la mort de Ventru Cruche annoncée. J’ai toujours su que c’était de ta faute s’il était mort. A cause de ta stupidité !
- Tais toi, murmura Georgec, laissant ses cheveux masquer son visage.
La pluie, qui n’était alors que qu’elle gouttelette suspendu dans les airs, se transformèrent en pluie torrentielle. Sawa et son prisonnier ne s’en préoccupèrent pas pou autan. Evolenne soupira, et récupéra sa cape, sous la quelle elle s’abrita. Georgec, toujours assit dans la boue, ses vêtement de cuir ruisselant d’eau, les cheveux mouillée collée à se tempes.
- Tu ne comprend pas, assena t-elle, impitoyable. Tu est un poids ! Un poids mort ! Tu ne sers à rien ! Si ça se trouve, nous nous feront tué dont quelque semaines à cause de ta stupidité, si ce n’est tout de suite !
- Arrête ça tout de suite.
- Tu ne comprend…
- STOP !
Evolenne sursauta. Puis, elle fut jeté contre un arbre avec une force prodigieuse. Elle heurta un lourd chêne qui se brisa sous le choc. Evolenne eu un petit gémissement, en heurtant de nouveau le sol. Debout, devant elle, Georgec. Ce dernier grimaça. Il leva haut le poing, et frappa la pierre sur la quelle il était assit, la fendant en deux. Puis, il disparut dans une silencieuse lumière rouge.
Evolenne se releva lentement. Une main ferme l’attrapa par le bras. C’est Sawa. Derrière lui, le géant se relève péniblement. Il tente de poignarder Sawa dans le dos. Le coup s’abat sous les yeux effrayé d’Evolenne.

#
# #

Georgec était debout, à quelque centaine de mètre, dans une grotte. Il se débarrassa d’abord de ses vêtement moulée couvert de pluie, les jeta dans un coin de la grotte. Puis, il s’allongea à même le sol et ferma les yeux.
Il se réveilla quelque heures plus tard. Fit quelque exercices de souplesse et de déconctraction. Dehors, le soleil brillait. Il récupéra ses vêtement, encore un peu humide de la pluie torrentielle d’hier soir, mais nettement plus sec, qu’aux moment ou il les avait enlevée.
Puis regrettant son brusque accès de fureur, il se déplaça à nouveau vers le camp. Le sol détrempée faisait d’étrange bruit sous ses pieds. Repéra rapidement le rocher noircis qu’il avait fendus en deux, puis, n arbre brisée. Le premier élément qu’il trouva bizarre fut de trouver une hache pliable enfoncée profondément dans le bois. Puis, il découvrit quelque tache de sang qui était en train de sécher au soleil sur un rocher. Quatre aiguille était plantée dans un gant. Il continua a avancer, redoutant le pierre. Et le trouva. Affalée contre le mur, le géant capturé la veille. La gorge tranchée. Georgec s’agenouilla pour regarder sa blessure. Elle lui avait été fatale. Georgec se pencha, et la huma. Il ne repéra aucun poison. Pourtant, la gorge de l’homme était trop calcinée pour avoir était tranché d’un coup de poignard net. Qu’est qui avait fait ça ? L’acide contenu dans les aiguilles d’Evolenne, ou Sawa ? Tout ce que savais Georgec sur le jeune garçon était qu’il possédait Sagesse, qu’il était rapide, agile, et posséder un grand arc attachée à sa cape, un moyen sur son dos, et un petit à la ceinture. Evolenne, elle avait plusieurs boîtes à aiguilles plus ou au moins longue. Elle avait aussi un petit poignard sur la cheville.
Il lança ses sens et ouvrit un diamètre de 50 mètre. Aucun Hôtes. Mais l découvrit par contre trois cadavre encore chaud. Il se télé porta immédiatement là-bas. Il n’eut pas besoin de vérifier les blessures. Les aiguilles qui avait perforée le corps du premier et du second était assez sinificatrice. Il secoua la tête, et enleva le masque du dernier. C’était un jeune homme. Il le débarrassa de ses habites, et profitant qu’il n’est que la gorge perçait, enfila sa cape et son masque d’acier. Puis, il souleva le tranchoir, qu’il fixa dans son dos, au niveau de la ceinture, dans une position horizontale. Puis, il vérifia qu’aucun de ses mouvements n’était restreint par son nouveau déguisement, puis, il renvoya ses sens. Il découvrit sans aucune surprise Evolenne au palais d’Avarice, à côté des prisons, prêtes à être envoyée dans une zone pour les criminelles les plus dangereux.
Il s’apprêta à s’élancer à leur poursuite lorsque qu’il fut renversé par une masse. Il s’effondra avec un cri étouffé...
#
# #

- Par ordre du seigneur Urien, toutes les personnes en possession d’un Esprit devait se rendre en terre Noir. Evolenne Avarice. Vous êtes condamnée a ….
Evolenne n’écouta pas la suite. Alors que Sawa était partie au travail, elle s’apprêtait à aller chasser lorsque qu’elle avait été attaquée par les Gardes Garde d’Avarice. Elle en avait abattu qu’elle que un avant d’âtre submergée par le nombre. Elle avait eu la mauvaise surprise de découvrir dans l’escorte chargée de l’emmener quatre Elfe. Il y avait le Jaune, la mine renfrognée sous son masque, le Noir, impénétrable, le Rouge et le Violet. Le Violet se plaça derrière elle. Il posa la main sur sa tête, et aussitôt, la jeune fille sentit l’engourdissement la gagner. Ses pouvoirs étaient inaccessible qu’elle ne parvenait pas à bouger que très lentement. Avec une telle lenteur. Dans un premier temps, elle luta contre cette sensation. Puis, elle tenta de projeter des aiguilles de son corps. Ces alors qu’elle sentit. C’était un petit objet en or, comme un petit clou, qui était plantée au sommet de sa colonne vertébrale.
Celui ci portait un pentagramme. Elle comprit alors que, faute de l’Elfe Bleu et de son objet censé neutraliser l’Esprit, l’enfermer, puis tuer la jeune fille, il le remplacer par une autre reproduction, moins puissante, mais qui avait le moyen de neutraliser assez longtemps un Esprit.
Et voilà que Evolenne se retrouvait dans une situation pire que grave. Sawa était en train de chasser un criminel dangereux, niveaux S. Il ne serait pas de retour avant plusieurs semaine.
Georgec n’avait rien trouvé de mieux qu’attirer le regard d’Urien sur la Montagne d’Avarice.
Puis, il avait disparut sans laisser de trace.
De toute façon, se consola Evolenne, la Colère n’était guère contrôlable et il risquait de faire plus de dégât que de donner de l’aide comme l’avait prouvée les événement qui suivait sa rencontre.
Mais tout de même. Sawa n’avait pas pu convaincre Bonté de les accompagnée sans Georgec. Mais Sawa estimait qu’il valait mieux se passer de Bonté plutôt que de supporter la Colère.
Perdu dans ses pensée, elle ne c’était pas rendu compte que le juge corrompus c’était arrêter de parler, et que tous la regardaient de manière insistante. Elle se rappela inconsciemment avoir vu l’Elfe parler à l’oreille de l’homme.
- Alors ? 1, 2, 3 … !
Il frappa de son marteau sur le bois.
- Prison à perpétuité. Al Matoria.
Le mot frappa la jeune fille en plein visage. Al Matoria. Une prison de type trois. Aucun prisonnier évadée. La prison ou Sawa envoyait les prisonnier les plus dangereux. Situé sur l’archipel de Katamasu, a côté du Surda, une propriété de Penarien, quelque part au milieu de ces îles, le pénitencier. D’après les rumeur, il s’agissait d’un puits, immense cachée par la végétation, qui pouvaient être quelque part par mis la cinquante d’île ou d’îlots. Donc, un puits, très profond, composée de diverse étages emplie de cellules. Plus le prisonnier étaient bas, plus il était dangereux. Et en dessous de la plate-forme finale, une zone ou était employée trois artefact gorgée de magie, pour empêcher les possesseurs de Démon et autres créatures magiques de s’échappaient.
Et Evolenne allait être enfermé là bas.

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# #
Cela faisait très longtemps que Sawa le traquait. Longtemps. Si longtemps qu’un chasseur de prime normal aurait déjà abandonnée le contrat, malgré la prime alléchante, qui titillait le million. Sawa sentait qu’il était fait l’un pour l’autre. Le criminelle le plus dangereux de tout le continent, et le chasseur de prime le plus efficace de toute sa génération.
Le criminel en question s’appelait Riddick. Son nom, issus de l’ancien elfique, signifiait Rebelle. Un nom parfait pour le gredin. Cet homme, né en pénitencier, avait passé dix ans de sa jeunesse dans un taudis de sécurité 2. Puis, il c’était évadé, en se glissant dans un tuyau d’aération minuscule que les prisonniers adulte ne pouvaient pas emprunter. Il avait été retrouvé cinq ans plus, tard. Là, il avait tous fait pour survivre. Y compris servir de cobaye pour une expérience magique permettant à l’homme de voir la nuit. L’opération avait réussis, mais le mage avait ensuite tenté de l’incarcéré. L’adolescent le tua, et s’enfuit. Il fit plusieurs autres séjours dans des prisons. Calquer ce mode de vie sur n’importe qu’elle être humain, et obtenez un hors-la-loi nyctalope ultra-dangereux, âgée de la trentaine, une stature assez petite, des muscles gonflée comme des ballons, spécialiste en couteau. De plus, il était solitaire, n’accordait sa confiance à personne. Cela faisait maintenant plus de six mois que Sawa était sur le contrat. Il avait capturé deux prisonniers en chemin, mais il mettait l’essentiel de son énergie dans la capture de son prisonnier. En ce moment, il était près du camps. Il se félicita d’avoir l’habitude de cacher sa destination à Evolenne. Le criminelle ne c’était douté de rien. Sawa avait en suite changée sa cape en ensemble de feuille, et il avait commencée à gravir la montagne. La, il se retrouva derrière le criminel. Là, son métier prit le dessus sur sa personnalité. Armes ?demanda Sagesse.
- Ouais ! Un couteau sur la cuisse
- Et encore ?
- Deux armes blanches identiques dans son dos, attaché à un sac, poignée vers le bas, mélange de couteau, de serpe et de poing américain.
- C’est tout !
- Non !
- Quoi d’autre ?
- C’est les poings !
- A oui, c’est vrai.
- Ce n’est pas toi qui te les es pris dans la figure la dernière fois !
Sagesse ne répondit pas. Sawa soupira silencieusement. Parfois, Sagesse était exaspérant pas son fonctionnalisme. Il observa Riddick. Tête rasé. Lunette de piscine noire, qui lui permettait de mieux voir le jour, sa vision de nyctalope affectant aussi sa vision du plein jour. Il avait en outre un débardeur noir et un pantalon noir. Une de ses mains portait une mitaine –la droite. L’autre de portait qu’un bandeau noir serré sur le poignet. Mais Sawa ne remarqua pas Georgec qui descendait. Il ne vit que Riddick qui descendait silencieusement la montagne. En direction du camp. Sawa profiterait de l’attaquer devant Evolenne. Elle pourrait l’aider à le neutraliser. Il eut une éclaire rouge du coin des yeux. Tout d’abord, il ne ne remarqua pas, puis, lorsqu’il se fit plus insistant, il observa. Il était redescendu au niveau du camp, ou plusieurs cadavres maculés de sang poisseux et percée d’aiguille.
Il s’absorba quelque temps dans l’horreur de cette idée. Evolenne avait disparut. Lorsqu’il releva les yeux, Riddick avait disparut.
- Merde, siffla t-il entre ses dents.
En effet, ricana une voix moqueuse dans sa tête.
- Oh ! Toi ! Couche couche panier !
- Et gnagnagna… !
Sawa ferma son esprit. « Et on appelle ça Sagesse ».
Il fut interrompu dans sa chamaillerie intérieure par un grognement étouffée et un choc sourd…
#
# #
Vous voulez entendre une histoire ? Une histoire si sale que vous pourrez vomir ! Et ben, vous, savez, c’est la mienne. Je suis le fils d’une pensionnaire à perpétuité dans une tôle de type 2. Elle avait été coffré a deux mois de grossesse. Les gardiens affamer tellement les prisonnier, qu’il en profiter de sa fatigue pour la bouffer. Heureusement que le Boutonneux était là. Heureusement. Non. Malheureusement. Si ces putain de prisonnier m’avait bouffée, je ne serais pas poursuivit par ses connards de chasseur de prime, avec une prime d’un million collée sur ma tronche, et mon affiche à chaque tournant de rue.
Bref. Le Boutonneux m’a sauvé la peau et tout ce qui été à l’intérieur. Il l’a nourrit, et ses débrouillée pour se procurer du lait. Le Boutonneux a toujours eu plein d’amis. Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur. Je me suis toujours demandé pourquoi il ce n’est pas cassé de là. Peut-être parce que ma mère était là. Et après parce que je l’ai remplacé.
Mais bon. Toute les bonnes choses ont une fin, si on peut appeler sa une bonne chose. Le Boutonneux a fini par se faire chopper par le Prisonnier 175 et le 176, son jumeaux. Normalement, les armes sont interdites dans la prisons, mais le Boutonneux avait toujours réussis à cacher jusque là une lame. Je l’ai récupéré et je me suis plaqué. Puis, j’ai tué 176. Après, je me suis barré par un conduit d’aération que m’a mentionnée le Boutonneux la veille de sa mort. Le petit salaud. S’il m’avait prévenu plus, tôt, je me serais barré plus tôt. Une fois dehors, je me suis barrée de l’île à la nage. Je n’étais même pas encore classé. Un fils d’inconnue, lui même inconnue. Je me suis fait engagée par un petit vendeur d’arme. Lorsque les gardes sont venus foutres leur gros nez plein d’emmerde dans notre trafics, je me suis fais flashé. J’ai tué un garde. On a fait des recherches sur moi. Falyta Magnius, un mage, a retrouvée mon passé. Il m’a mit une condition pour ne pas mettre en ventes ses recherches. Je devenais son cobaye. Sa première –et la dernière– a été une expérience sur la vue. Il m’a doué d’une vision de nyctalope. La nuit, je vois violet. Cool. Le truc moins cool, c’est que cette saloperie a aussi abîmée la réaction de mes yeux à la lumière. Maintenant, je souffre à la lumière trop vive, et j’ai du mal à supporter l’éclairage normal. Mais bon. Des verres noir teintée noir vite résolurent le problème. Ce n’était pas cher payé pour cet atout.
Et après, la pire connerie de mon existence. La poursuite. Je déteste la tôle. Mais je déteste encore les fils de pute qui me jeté dedans chaque fois que je m’échappe. Franchement ! Il y en pas un qui en a marre au bout d’un moment. Enfin, je dois dire que malgré la somme offerte pour ma capture, la plus part des chasseurs de prime en abandonner. Sauf Sawa. Sawa. La première que je l’ai vu, je n’y ai pas cru. J’adore qu’on a peur de moi. Je prends ça comme une marque de respect, comme une protection. La première a faillit être fatale à ma carrière de fuyard. J’ai été battu de vitesse et de force. Mais bon. Lui aussi m’a sous estimer. Je m’en suis tiré avec une épaule déboîté, rien de bien grave.
Celui-là ne m’a jamais lâché. Ce bout de bonhomme, me fait parfois penser à moi même. Obliger de lutter contre le courant. Sauf que c’est moi qui ai prit la lutte. Je gagne toujours. Et je vais gagner…
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# #
Georgec roula et se dégagea. En face de lui, un homme. La trentaine, crâne rasée, sans barbe ni moustache, lunette noir de piscine attachée sur les yeux, deux serpes à la forme bizarre attachée dans le dos, les manches pendillant au auteur des hanches. Un couteau tiré d’un étui fixé à sa cuisse.
Son visage avait quelque chose de familier à Georgec, mais celui-ci ne parvint pas à se rappeler quoi. Il cogna en premier. Son poing vola vers le visage de l’homme. Il n’atteignit jamais sa cible. Avec une vitesse surhumaine, il c’était baissé. Mais Georgec c’était attendu à cela, et, l’homme fut projeté par un coup de genoue en plein poitrine. Il roula rapidement, prit appuyé à la racine d’un arbre dans le même mouvement, et se projeta dans les aires. Une forme blanche indistincte fusa vers l’homme, et le percuta.
Riddick roula, tandis que le couteau de Gerorgec se plantait dans le bois avec un bruit mat. Sawa. Rebondit comme une balle sur le sol. Une chaîne était enroulait autour de sa main gauche ; Il la jeta. Elle s’enroula autour de Riddick, l’immobilisent un instant
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# #
Tout était parfait. Le timing, la cible, l… La cible ! Tien ! Parlant en ! Ah !: Si je m’été imaginée que c’était un de ces bêtes, je me serais contentée de filer presto. Mais il me fallait bien des vivres, des vêtements chauds, et plein d’autre truc ! Peut-être même un otage à l’occasion. Mai m’imaginer que je tomberais sur deux de ses monstres en une journée. Sawa à profiter de ma concentration pour m’attaquer au moment clé de notre duel. Puis, il m’a lâchement menottée. Qu’est que je pouvais faire. Fuyard, ok. Intelligent, ok. Futé, ok. Rapide, ok. Fort, ok. Assez pour tuer deux monstres ? Pas ok.
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# #
Sawa sourit à pleine dent. Avec Riddick, il fallait prendre toute les précautions. D’abord, l’assommer avant de le transporter. Il avait heureusement prévu de prendre la triple paire de menotte en acier trempée. Pareille pour les pieds. Puis, rapidement, le délester de toutes ses armes, l’assommer avant de le fouiller. Puis, rassurer Georgec. Non, il n’était pas fou, ou il allait bien, non il n’allait pas le tuer. Oui, il allait empocher un sacrer magot. Combien ? Beaucoup. Beaucoup combien ? Entre un million et un million cinq.

#
# #
Il venait à peine de rentrer dans le camp déserté, qu’il venait succecivement de subir la disparition d’Evolenne, l’attaque d’un prisonnier complètement taré, et de retrouver Sawa qui affirmer le chercher. Georgec était perdu. Enfin presque. Il suggéra trois fois de partir. Mais, Colère tenait à rester près de son frère…

#
# #

Ils se mirent en routent le lendemain. Sawa voulaient se dépécher le remettre en prison. Au abord de la ville, il le lança a un homme habillée d’une cape noir. Il scruta quelque instant le visage du prisonnier, avant de tendre une bourse de sequins à Sawa. Celui continua a tenir la main ouverte. L’homme soupira et lacha quelque autres bourse, avant de partir d’un pas rapide.
- Abat le, dit Georgec.
Sawa se tourna vers lui.
- Pourquoi ?
- Je ne lui fait pas confiance.
- Et tu fais confiance as qui, toi ?
- Personne.
- Bon. Comme moi.
- Tu te fiche de moi, non ?
- Si, un peu.
Georgec lança son poing contre Sawa. Le mur trembla, et quelques briques s’effondrèrent. Sawa avait disparut dans un éclaire blanc.
Georgec soupira, puis continua son chemin.
Il passa d’abord pour aiguiser ses couteau, puis continua sa route, tranquillement. Il agressa un voleur, lui vola son magot, et le laissa baigner dans son sang, la gorge perçait d’une dague.


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Message par LeRat Sam 6 Avr - 9:53

Juste un truc: ça serait mieux de mettre les noms des Esprits dans le prologue...
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Message par Caine Lun 8 Avr - 16:54

Non, on découvre les quels ils sont au fur et a mesure de l'histoire !
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Message par LeRat Lun 8 Avr - 16:56

Mouais. Ils correspondent pas vraiment à leur noms.
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Message par Caine Mar 9 Avr - 6:02

Pourquoi ?
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Message par LeRat Mer 10 Avr - 11:28

Sagesse?
Colère pas très colérique?
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Message par Lupo12 Mer 10 Avr - 16:48

HAHA
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Message par Caine Jeu 11 Avr - 6:17

Mais si ! en fait, Sawa est surtout un peu remonté, mais on remarque bien que Georgec est beaucoup plus impulsif et vénère que lui !
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Message par LeRat Jeu 11 Avr - 16:51

Mais moi, je suis pas sur qu'il soit si colérique que ça (pense à Skysolol)
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Message par Caine Ven 24 Mai - 6:27

Si, si tu verra (moi, je n'explose pas une ville parce que le prix du poignard que je veux est trop cher !)
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